Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Nouvel Observateur qui, dans son dernier numéro, s’est intéressé de près "au business des ex". Parmi eux figure notamment Nicolas Sarkozy. Contraint de quitter l’Elysée après sa défaite le soir du 6 mai 2012, l’ancien président profite désormais de son expérience dans la plus haute sphère du pays pour distiller ses conseils aux quatre coins du monde. Conférencier de luxe, le champion de la droite s’est ainsi déjà rendu au Canada, en Suisse, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. "Il monnaie chacune de ses apparitions coachées par la prestigieuse agence Washington Speakers Bureau autour de 100.000 euros", souligne par ailleurs l’hebdomadaire. Mais alors que ces nouvelles activités lui garantissent de coquets revenus et sont très certainement moins prenantes que ses anciennes fonctions de chef de l’Etat, Nicolas Sarkozy ne semble pas vouloir s’y investir complètement et garder un pied en politique. Une position qui ne fait d’ailleurs que conforter ceux pour qui son retour pour la présidentielle de 2017 ne fait quasiment pas de doute.
Il y a une vie après la politique, c’est bien connu. Mais en quoi consiste-t-elle vraiment ? C’est la question que s’est récemment posé leDSK devient conseiller du gouvernement serbeAprès avoir dû renoncer à ses ambitions politiques en 2011 à cause du scandale du Sofitel de New York, Dominique Strauss-Khan s’est, quant à lui, reconverti dans le conseil. Fort de son expérience à la tête du Fonds monétaire international (FMI), l’ex-époux d’Anne Sinclair est récemment devenu conseiller du gouvernement serbe. Un joli pied-de-nez à tous ses détracteurs qui se sont réjouis de sa descente aux enfers. Son nouvel emploi consiste ainsi notamment à attirer les investisseurs étrangers, à se pencher sur la restructuration de la dette extérieure, mais aussi à négocier avec le FMI.
De Villepin revient au droitProfitant également du filon du conseil, Eric Besson, l’ancien ministre de l’Immigration a, lui, crée sa propre société de consulting. De leur côté, certains ex-membres du gouvernement comme Dominique de Villepin, Claude Guéant et Jeannette Bougrab ont décidé de retourner à leurs premiers amours. Avocats de formation, tous les trois ont ainsi repris le chemin des tribunaux. La vie après-politique semble ainsi être une nouvelle vie fortement marquée les expériences passées. Et comme le souligne le Nouvel Observateur, il arrive parfois que les deux voies se croisent. A l’instar de Dominique Strauss-Kahn qui doit désormais entamer des négociations pour la Serbie avec le FMI.
A revoir en vidéo, la leçon d'économie de DSK au Sénat :