La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Le président des Républicains, Nicolas Sarkozy, est en visite depuis dimanche au Maroc et doit rencontrer, ce lundi, le ministre des Affaires étrangères, le chef du gouvernement et le roi Mohammed VI, un ami personnel, souligne Le Parisien.
Dimanche soir, Nicolas Sarkozy s’exprimait devant 400 Français expatriés dans le royaume, "dont une bonne partie avait sa carte aux Républicains". "Chacun comprendra la réserve que je dois avoir" sur la politique française, avait-il prévenu… avant de se raviser devant son auditoire.
Un coup pour Valls, un autre pour Hollande
Et le chef des Républicains de viser la gauche : "Mais dans quel monde vivent les socialistes? Un monde où ils n'entendent plus le peuple. Ils sont coupés des réalités. Je savais qu'ils étaient aveugles...mais je me demande s'ils ne sont pas également sourds.", a-t-il ironisé.
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"Valls ? Vu le volume sonore en ce moment, il doit être stressé, il a du mal...", a moqué Nicolas Sarkozy au milieu des rires de l'assistance. "Monsieur Hollande nous met si bas qu'il va falloir aller très loin dans notre projet" pour reconquérir l'Elysée, a-t-il renchéri.
Nicolas Sarkozy revient sur "la fuite d’eau"
"Je refuse qu'on dise que prononcer le mot immigration, quand on est chez les Républicains, soit une forme de xénophobie ou de racisme !", a-t-il insisté après que la gauche, et même François Hollande, l’a taclé suite à sa comparaison entre les migrants et une fuite d’eau.
En privé, selon le Parisien, Nicolas Sarkozy est revenu sur cette polémique : "Oser dire que je compare les migrants à une fuite d'eau, c'est grotesque. La fuite que j'évoquais ? C'est la solution préconisée par la Commission européenne pour répartir les demandeurs d'asile dans les différents pays de l'Union."
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