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Attaque violente contre Emmanuel Macron : elle devait se dérouler cette semaine
Emmanuel Macron a beau être l’homme le mieux protégé de France, en cette période de commémorations, il n’est pas passé loin. Cette semaine, six personnes ont été interpellées pour avoir fomenté un projet d’attaque violente contre le président de la République.
Si des sources se sont fait l’écho d’un projet "imprécis" et "mal défini", il était tout de même prévu qu’il se déroule très prochainement. Comme le rapporte LCI, l’un des suspects avait pour ambition d’agir pendant "l’itinérance mémorielle" d’Emmanuel Macron, qui se déroule en ce moment, à l’aune du centenaire de l’armistice de la Grande Guerre. Arrêté, un certain Jean-Pierre B. avait notamment prévu de s’approcher du président de la République afin de l’attaquer avec une lame en céramique, supposément indétectable.
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Attaque violente contre un Emmanuel Macron : un suspect se dégage du lot
Âgé de 62 ans, cet homme retraité et supposément lié à l'ultradroite, comme les cinq autres personnes interpellées, se dit militant de Debout la France, la formation de Nicolas Dupont-Aignan. Interrogée la formation politique assure qu’il n’a jamais eu de responsabilité en son sein, détaille BFMTV.
Toutefois, ce qui inquiète, et confirme au passage le réel danger, c’est que ce sexagénaire habite normalement Grenoble. Or, c’est en Moselle qu’il a été interpellé avec trois autres personnes. Le suspect se trouvait donc bien dans le département en même temps qu’Emmanuel Macron…
Sur son compter Facebook, les autorités ont découvert des appels à l’insurrection ainsi qu’une mise en garde contre le mouvement du 17 novembre qui sera, selon le suspect, "La nouvelle nuit de la saint Barthélémy. Une référence à date de l’histoire du 16e siècle où des catholiques ont massacré pas moins de 3000 protestants.
Deux autres personnes ont été respectivement interpellées en Ille-et-Vilaine et en Isère.
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