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Vincent Elbaz : son étonnant premier cachet au cinéma
Ce jeudi 29 septembre, TF1 diffuse en prime time Syndrome E, sa toute nouvelle série policière. Adaptée du célèbre roman de Franck Thilliez, la fiction met sous le feu des projecteurs Vincent Elbaz dans le rôle principal. Le comédien français incarne Franck Sharko, commissaire à Paris, au 36 quai des orfèvres. Flic bourru et solitaire, ce père célibataire va s'occuper d'une nouvelle enquête dans laquelle des enfants disparaissent mystérieusement... Pour lui donner la réplique, la série s'est offert un casting cinq étoiles. On retrouve notamment Jennifer Decker, Emmanuelle Béart, Richard Bohringer ou encore Michèle Bernier.
Vincent Elbaz s'est fait connaître sur grand écran en 1994 avec son premier rôle dans Le Péril jeune de Cédric Klapisch, aux côtés de Romain Duris et Elodie Bouchez. Au fil des années, il s'est fait une place dans le cinéma français. L'acteur a notamment joué dans Les Randonneurs de Philippe Harel, la saga La Vérité si je mens ! de Thomas Gilou, Rue des plaisirs de Patrice Leconte ou encore Embrassez qui vous voudrez de Michel Blanc. À la télévision, il a incarné pendant trois saisons Vincent Libérati, le héros de la série No Limit, diffusée sur TF1 entre 2012 et 2015.
Si l'acteur a réussi à s'imposer comme un visage phare de la fiction française, ses débuts n'ont pas toujours été simples. Le 20 décembre 2017, Vincent Elbaz était l'invité de Stéphane Bern dans l'émission A la bonne heure sur RTL. Ce dernier a raconté une étonnante anecdote sur son tout premier cachet au cinéma.
En 1992, le comédien, à l'époque étudiant au Cours Florent, a auditionné à trois reprises pour intégrer en tant que figurant le film La belle histoire de Claude Lelouch. Borné, Vincent Elbaz a tout fait pour faire partie du tournage et n'a pas hésité à s'incruster sur le plateau. L'obstination du jeune acteur a fini par payer lorsqu'il parvient à discuter avec Claude Lelouch alors qu'il se rendait aux toilettes. Lui faisant par de son admiration pour son travail, Vincent Elbaz convainc le réalisateur de pouvoir assister au tournage pour la journée. A la fin de celle-ci, un événement inattendu s'est produit. "A la fin de la journée, il [Claude Lelouch] m'a fait signer un papier et j'ai reçu un chèque. J'étais payé comme une journée de figu' !", a-t-il raconté.
Vincent Elbaz : ces scènes où il a "payé de sa personne"
Vincent Elbaz est un acteur très investi lors des tournages. Aure Atika, qui lui a donné la réplique dans le film La Vérité si je mens !, s'en rappelle encore. Dans une interview accordée à Première en 2019, l'actrice est revenue sur la fameuse scène de la gifle.
"Vincent tenait absolument à ce que je lui colle une baffe magistrale, afin que le plan soit crédible. Il a été servi… On a fait un seul plan et c’était le bon. J’ai frappé si fort qu’il a gardé la joue marquée des heures. Pendant plusieurs jours, il a mal entendu d’une oreille !", a-t-elle déclaré.
Dans le film Tellement proches, Vincent Elbaz s'est encore montré (un peu trop) impliqué dans une scène de gifle. "Vincent a payé de sa personne pour la séquence de la gifle, recommencée six fois de suite. Nous refusons tous trucages numériques et les baffes sont réelles. Isabelle [Carré] ayant une bonne poigne, le malheureux a terminé sa journée avec une joue en piteux état et un sac de glaçons", a confié le réalisateur Eric Toledano à Télé 7 Jours.
Vincent Elbaz : sa femme est une célèbre journaliste
Vincent Elbaz a eu une relation amoureuse avec la danseuse danoise Mette Berggreen, avec qui il a eu une fille prénommée Anna en 2007. Depuis 2010, le comédien file désormais le parfait amour avec la journaliste Fanny Conquy. Passée par France Info et iTélé, elle officie désormais sur la chaîne Public Sénat en tant qu'éditorialiste politique dans l'émission Sens public, présenté par Thomas Hugues. Le couple s’est marié en 2014.
De leur union, le couple a eu trois enfants : Simon né en 2015 et deux filles nées en 2018 et en 2021, dont on ignore les prénoms. L'acteur est extrêmement discret lorsqu'il s'agit d'évoquer sa vie privée.
En 2018, il s'est confié comme rarement sur sa vie de père de famille auprès du magazine Parents. "Ce sont les enfants qui nous rendent dignes d’être leurs parents. Être père, ce n’est pas gagné, ça se mérite", a-t-il déclaré.