La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Entre Jane Birkin et Serge Gainsbourg, c’est Je t’aime… moi non plus ! De leur coup de foudre à la fin des sixties, ils ont formé un couple phare en faisant la une des médias dans les années 1970. Les parents de Charlotte Gainsbourgont néanmoins connu des hauts et des bas dans leur relation. "Avec ma mère, ils se mettaient pas mal sur la gueule, j'en garde des souvenirs cuisants, et elle n'était pas en reste", confiait la conjointe d’Yvan Attal à Télérama en février 2021.
Malgré leur séparation en 1980, Jane Birkin a été une grande muse pour l’auteur-compositeur et interprète Serge Gainsbourg. Alors qu’elle fait son retour en musique avec une compilation inédite de ses tubes et une tournée à venir, la Franco-britannique est revenue sur leur idylle, ce 15 septembre, dans les pages de L’Obs.
"Quoi qu'il en soit, j'ai été une source d'inspiration pour Serge, il y a certaines choses qu'il n'aurait pas écrites pour quelqu'un d'autre, dont 'Je t'aime moi non plus'. Je parle du film, pas de la chanson puisqu'elle était destinée à Brigitte Bardot".
"Serge disait que les seins lui faisaient peur" (Jane Birkin dans L'Obs)
L’occasion pour la septuagénaire de faire des révélations sur les préférences physiques de son ex-compagnon disparu en 1991. "Serge disait que les seins lui faisaient peur, il adorait les physiques androgynes, qu'il peignait déjà aux Beaux-Arts", a-t-elle raconté en avouant que sa "personnalité androgyne représentait un idéal".
Avant de fréquenter "Gainsbarre", Jane Birkin partageait la vie du musicien anglais John Barry, le père de sa fille aînée Kate. Elle glissait même cette drôle d’anecdote sur leur rencontre à nos confrères. "Quand j'ai rencontré John Barry, je craignais sa déception au moment où il s'apercevrait que mon soutien-gorge était bourré de coton", révélait la star, à l’honneur ce 16 septembre dans un documentaire sur France 3.
Les obsessions coquines de Jane Birkin dans son journal intime
Ce n’est pas la première fois que Jane Birkin évoque sa vie privée. Dans son journal intime Munkey Diaries, paru aux éditions Fayard en octobre 2018, elle dévoilait notamment ses obsessions coquines. "Comme j’aimerais ne plus penser au sexe, mais j’ai seulement 20 ans et je l’ai seulement fait pendant deux ans, dont une année pendant laquelle j’étais enceinte et où John ne voulait pas me toucher".
Et, de poursuivre sans filtre. "Je n’arrive pas à croire que je sois une obsédée sexuelle, je suis sûre de ne pas être le genre, mais ça commence à devenir un truc à moi, maintenant".