Eddy Mitchell : cette clause qu'il impose toujours avant de tourner dans un film

Eddy Mitchell : "Si le scénario l'exige, une doublure prend le relais"

Eddy Mitchell va bientôt faire son retour sur grand écran avec la comédie "Les Vieux fourneaux", où il joue le rôle d'un septuagénaire bougon aux côtés de Pierre Richard et Roland Giraud. Le film réalisé par Christophe Duthuron sortira en salles le 22 août prochain. À cette occasion, l'acteur de 76 ans est revenu sur sa carrière d'acteur dans les colonnes du Journal du dimanche (JDD). Il s'est aussi confié sur ses goûts et ceux de son ami de longue date : Johnny Hallyday.

L'homme aux 37 films et au César du meilleur second rôle en 1996 pour "Le bonheur est dans le pré" d'Étienne Chatiliez s'est laissé aller à quelques confessions sur ses ébats avec Sabine Azéma dans le film. L'acteur explique ne pas être fan des scènes de sexe. Loin de là. Il impose donc une clause avant chaque tournage. "Je fais stipuler dans mes contrats de ne pas avoir à montrer mes fesses à l'écran, détaille-t-il. Si le scénario l'exige, une doublure prend le relais. Cela me permet de m'offrir une journée peinard, et tout le monde pense que j'ai un magnifique postérieur !"

Eddy Mitchell : "Johnny était un acteur plutôt laborieux"

Dans cette interview, l'acteur a aussi fait quelques confidences sur les goûts cinématographiques de son ami, Johnny Hallyday. Il "était fan de blockbusters façon Transformers, moi je préfère Elia Kazan", raconte encore Eddy Mitchell avant d'ajouter : "Johnny était un acteur plutôt laborieux, pas franchement sûr de lui, mais travailleur. Un mélange entre Sim et Gary Cooper, et un disciple de l’Actors Studio."

Enfin, Eddy Mitchell, qui n'a pas la langue dans sa poche, en a profité pour tacler le cinéaste Jean-Luc Godard. "Son seul apport au septième art est d'avoir inventé l'ellipse, précise la "Vieille Canaille". Pour le reste, Godard, c'est un compte en banque en Suisse." C'est dit.

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