Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Aya Nakamura et son compagnon Vladimir Boudnikoff ont été placés en garde à vue le 6 août dernier pour des faits de « violences réciproques ». Six jours plus tard, ce jeudi 11 août, l’interprète de « Pookie » est enfin sortie de son silence sur Snapchat, rapporte Public. Sa publication a cependant été rapidement supprimée.
Aya Nakamura après sa garde à vue : "On a cherché, on a trouvé"
Dans son message, la chanteuse a d’abord tenu à rassurer ses fans. "Merci aux gens qui m’envoient des messages mais je vais très bien. J’ai aucun jour d’ITT etc", a-t-elle indiqué. Pourtant, une source judiciaire a indiqué au Parisien qu'elle avait reçu trois jours d’ITT, tout comme son conjoint.
Elle semble par ailleurs avoir été marquée par son passage au commissariat de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). "Rien de grave mise à part la GAV qui est spéciale comme expérience. Mais bon en vrai on a cherché on a trouvé hein et la vie continue", a-t-elle conclu.
Aya Nakamura menacée avec une arme à feu ?
L’artiste et son compagnon, qui est également son producteur, avaient été placés en garde à vue le 6 août dernier après une violente dispute à leur domicile de Saint-Denis. Selon Le Parisien, le conflit aurait éclaté quand Aya Nakamura est revenue chez elle accompagnée de deux amis, ce que n’aurait pas apprécié Vladimir Boudnikoff.
Ce dernier, officiellement en couple avec l'artiste francophone la plus écoutée dans le monde depuis 2020, aurait alors menacé le trio avec une arme à feu. Aucun coup n’aurait toutefois été donné, mais des objets semblent avoir été dégradés.
Aya Nakamura et son compagnon jugés en novembre
Le lendemain de la garde à vue, dimanche 7 août, leur appartement aurait été perquisitionné. Les forces de l’ordre auraient découvert une arme factice, une carabine, 14 000 euros en liquide et trois pieds de cannabis.
Finalement relâché, le couple a reçu une convocation judiciaire pour « violences par conjoint ayant entraîné une incapacité de travail de moins de huit jours ». Ils seront jugés devant le tribunal correctionnel de Bobigny en novembre.