De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Lorsque le froid s’installe, l’un des premiers réflexes est d’augmenter le chauffage. Pourtant, ce n’est pas forcément une bonne idée : le taux d’humidité de votre maison pourrait s’en retrouver altéré. Dans l’idéal, celui-ci devrait se situer 40 et 65% en été et aux alentours de 50% durant la période hivernale, bien qu’il puisse descendre jusqu’à 30%, selon la filiale d’EDF Sowee. En effet, lorsqu’il fait froid dehors, l’air de la maison aura tendance à s’assécher, en raison de la chaleur dégagée par les radiateurs ou d’une mauvaise isolation. Mais attention à ce que l’hygrométrie, que vous pouvez mesure à l’aide d’un hygromètre, ne tombe pas trop bas.
Que faire quand l’humidité est trop faible ?
Plusieurs gestes peuvent permettre d’éviter un taux d’humidité trop faible :
- Même en hiver, ouvrez les fenêtres environ 15 minutes par jour pour aérer chaque pièce
- N’augmentez pas le chauffage de manière excessive. Selon déco.fr, la température ne doit pas dépasser 20 à 21°C dans la pièce à vivre.
- Mettez des plantes dans votre intérieur. D’après ADF Services, spécialiste des problèmes d’humidité, elles peuvent aider à réguler l’hygrométrie de votre logement.
Si ces quelques gestes ne suffisent pas, vous pouvez également vous équiper d’un humidificateur d’air. Comme son nom l’indique, il permettra d’humidifier l’air ambiant de la maison.
Contrôler l’hygrométrie de sa maison est extrêmement important. Si trop d’humidité peut entraîner l’apparition de moisissures, l’écaillage des peintures et des problèmes respiratoires, un air trop sec peut lui aussi avoir des conséquences néfastes sur le logement et le mobilier, mais également sur la santé du foyer. Découvrez dans notre diaporama les signes qui doivent vous alerter.