La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ça coince au gouvernement. Pensant tous les deux bien faire, Emmanuel Macron et Edouard Philippe ont finalement déclenché un couac. En effet, le président a apporté son soutien à Myriam El Khomri pour le second tour des élections législatives. Lundi sur Twitter, l’ancienne ministre du Travail sous François Hollande a revendique le "soutien officiel" du chef de l’Etat. Jusqu’ici rien de choquant, sauf que, quelques jours plus tôt, l’adversaire Les Républicains de la candidate du Parti Socialiste dans la 18e circonscription de Paris, Pierre-Yves Bournazel, avait déjà reçu le soutien du Premier ministre. Dans une vidéo postée sur le compte Twitter du candidat, le chef du gouvernement avait en effet lancé aux électeurs : "Faites le bon choix, ne vous trompez pas et portez à l’Assemblée nationale un excellent député, Pierre-Yves Bournazel".
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Une situation inédite pendant les élections législatives 2017
Une situation quelque peu déroutante qui, selon les termes de la présidente par intérim de La République en Marche, Catherine Barbaroux, interrogée par l ’AFP, met le mouvement "en situation d’être témoin d’une primaire". "On a tweeté peu après avoir reçu la confirmation de son soutien (celui d’Emmanuel Macron, ndlr) cet après-midi, a pour sa part expliqué l’équipe de la candidate PS. Pour nous, c’est plus une confirmation puisqu’un décidant de ne pas investir de candidat (La REM), dans la circonscription, Emmanuel Macron souhaitait soutenir Myriam El Khomri".
Au premier tour, Pierre-Yves Bournazel est arrivé en tête avec 31,75% des voix, contre 20,23% pour son adversaire PS.
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