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Aussi infâme qu’il soit, cet acte ne sera pas puni par la loi. Lundi dernier, Le Parisien rapportait une histoire sordide : celle d’un septuagénaire suspecté d’avoir violé un poney au sein du centre hippique de Thiais, dans le Val-de-Marne. Mais au lendemain de son interpellation, l’homme a été relâché, "faute de charges suffisantes", comme le souligne une source judiciaire au quotidien.
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Ce sont des membres du personnel qui ont fait cette découverte particulièrement dérangeante, lundi, en fin de matinée. En se rendant dans les écuries, ces derniers se sont en effet retrouvés nez-à-nez avec l’individu, "affairé à l’arrière de l’un des poneys, dans une attitude laissant peu de part au doute", indiquent nos confrères. Après l’avoir interrompu, l’équipe du centre équestre a immédiatement fait intervenir la police qui, de son côté, a neutralisé l’agresseur.
Bientôt relaxé
Mardi après-midi, une confrontation avec un témoin a été organisée afin de permettre aux enquêteurs de dégager précisément les faits reprochés au suspect. Mais cette initiative n’a, semble-t-il, pas porter ses fruits puisque l’affaire devrait probablement être classée d’ici quelques jours. Par ailleurs, le septuagénaire, qui ne présenterait pas de trouble particulier d’après une expertise psychiatrique, devrait être relâché.
En contradiction avec le code pénal
Pourtant, les actes de zoophilie sont bel et bien condamnables en France. Le code pénal punit ainsi jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende "le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle (…) envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité".
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