Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
- 1 - Elle prie Sainte Bernadette et devient multimillionnaire
- 2 - Il gagne au loto, rachète sa boîte et rétrograde son chef
- 3 - La chance du débutant
- 4 - A deux, c’est toujours mieux
- 5 - Poisson d’avril !
- 6 - Une fois ne suffit pas
- 7 - Parfois une seule fois suffit
- 8 - La belle erreur
- 9 - Un conte de fée
- 10 - Les millionnaires du loto : 49 histoires de sacrés veinards !
Elle prie Sainte Bernadette et devient multimillionnaire
Parfois, même les prières les plus folles sont exaucées. En 1982, Josette, porteuse de pains dans les Côtes-d’Armor, a prié ardemment pour gagner au loto auquel elle jouait régulièrement. Son mari, Claude, était marin et voyageait pendant des mois aux quatre coins du monde, souvent dans des eaux déchaînées. Pour que son époux n’ait plus à travailler et qu'il rentre sain et sauf à la maison, Josette a organisé un petit voyage à Lourdes. Elle a alors prié des nuits durant en espérant un miracle. Pendant la période de Noël 1982, les chiffres du loto sont tombés : tous les numéros de Josette étaient là. Grâce aux 6,4 millions de francs, elle et son mari ont pu couler des jours heureux.
Il gagne au loto, rachète sa boîte et rétrograde son chef
Alexandre, un routier d’une cinquantaine d’années a gagné 10 millions d’euros au loto, en 2010. Avec tout cet argent, le chanceux a décidé de racheter son entreprise en redressement judiciaire et de garder son ancien patron… en le rétrogradant. Aimant tout de même son ancien métier, il lui est arrivé de revenir sur les routes pour remplacer un employé malade.
La chance du débutant
Sonia, 5 ans, a fait le bonheur de ses parents. EN 1982, la petite fille s’est amusée à cocher six cases d’une grille de loto. Quelle ne fut pas la surprise de ses géniteurs lorsque les six chiffres ont correspondu à ceux du tirage de la semaine. Au final, 1,7 million de francs sont arrivés sur le compte de ces habitants de la région de Saint-Avold (Moselle). Sonia a pu, quant à elle, dorloter une peluche d’ours grandeur nature et se gaver de petits fours.
A deux, c’est toujours mieux
Etienne et Roger, deux amis habitant en Arles (Bouches-du-Rhône), ont toujours joué au loto ensemble en payant une grille commune. Pendant trois ans, ces soudeurs, chacun père de quatre enfants, ont tenté leur chance sans jamais gagner. Mais un jour, pour le Super Loto du 31 décembre 2010, l’un d’entre eux a fait cavalier seul. Cette fois-ci, la chance était de la partie puisqu’il a remporté le jackpot de 10 millions d’euros. Beau joueur, le gagnant a réclamé à son ami - qui n’était pas encore au courant de la bonne nouvelle - le remboursement de la moitié de la grille. Il lui a alors fait la surprise en lui donnant en retour la moitié du jackpot. Car selon lui, les bons comptes font les bons amis.
Poisson d’avril !
Il avait peur d’y croire, mais pour une fois, ce n’était pas un poisson d’avril. Jean-Claude, 49 ans, était chauffeur de poids-lourds dans les Bouches-du-Rhône en 2010. Le 1er avril, il a regardé machinalement les résultats du loto de la veille au soir, sans trop y croire. Il a tout d’abord vu que le pactole avait été remporté par un unique veinard en France. Mais c’est en voyant les numéros s’afficher qu’il a compris que le veinard, c’était lui. Croyant à un canular de ses amis, il a appelé directement la Française Des Jeux pour confirmer les résultats. Au final, le chauffeur a remporté 7 millions d’euros.
Une fois ne suffit pas
Si la plupart des joueurs ne voient même pas l’ombre d’un jackpot pendant des dizaines d’années de jeux, une infime minorité à parfois la chance de toucher non pas un pactole, mais plusieurs. C’est le cas de Christian, chef d’entreprise quinquagénaire dans l’Hérault. En 2011, il a reçu un chèque de 3 millions d’euros, alors que quinze ans plus tôt, il a touché 18,6 millions de francs également au loto.
Parfois une seule fois suffit
L’histoire laisse un goût amer. En Alsace, en 2013, une sexagénaire qui depuis des années jouait la même grille au loto, a décidé de se laisser tenter par la super cagnotte de l’EuroMillion du vendredi 13. Elle aurait dû se méfier de cette date car non seulement elle n’a pas gagné à l’EuroMillion, mais en plus, ses numéros fétiches sont sortis au tirage du loto. Ce seul et unique tirage auquel elle n’avait pas participé. Défaite, déception, amertume.
La belle erreur
Parfois une petite erreur peut faire toute la différence. En 1994, Michèle, une quinquagénaire, devait jouer, comme à son habitude, la grille fétiche qu’elle partageait avec son groupe de collègues. Mais, par inadvertance, au lieu de cocher le 44 habituel, elle s’est trompé de case et a coché le 34. Grand bien lui en a pris puisque le lendemain, les six chiffres de la grille étaient gagnants.
Un conte de fée
En 2015, un réfugié syrien âgé de trente ans a gratté les lingots d’un ticket Millionnaire, acheté en Seine-Saint-Denis. Il a remporté un million d’euros et a pu s’acheter un appartement à Paris. Aujourd’hui, il compte ouvrir un restaurant et faire venir sa famille en France.
Les millionnaires du loto : 49 histoires de sacrés veinards !
Mais qui sont vraiment ces sacrés veinards qui sont devenus millionnaires du jour au lendemain ? Vincent Montgaillard, grand reporter et spécialiste des gagnants du loto, a recueilli leur histoire dans son livre intitulé "Les millionnaires du loto : 49 histoires de sacrés veinards !", paru aux éditions de l’Opportun au mois de mai.