Une conductrice a saisi le Conseil d'État après avoir reçu une contravention pour stationnement. Et la juridiction lui a donné raison. Explications.
Les tombes de potentiels vampires viennent d'être découvertes près de la ville de Gliwice en Pologne. Un endroit connu des archéologues en raison de nombreux vestiges ou tombes de soldats datant de la Seconde Guerre Mondiale. Ils y ont retrouvé quatre squelettes décapités, la tête sur les jambes, l'un des rites funéraires qui étaient réalisés en cas de superstition vampirique au XVIème siècle. Cette macabre mise en scène indiquerait que les individus enterrés ont été accusés de vampirisme et donc soumis à une exécution rituelle pour s'assurer qu'ils restent bien morts.
A cette période, la définition du vampirisme était bien plus large que celle que nous avons aujourd'hui. Preuve en est, il suffisait de déposer de la nourriture sur les tombes des proches pour être accusé de vampirisme et être exécuté de manière sordide.
Des vampires ?
Avec le temps, le progrès scientifique et le recul nécessaire, les spécialistes ont expliqué que le vampirisme était souvent le "prétexte" trouvé en cas de maladies inexpliquées (peste, choléra, rage) ou de désastre (récolte improductive). Une manière pour les individus de l'époque de trouver une explication à des choses qu'ils ne comprenaient pas. Car c'est bien d'incompréhension qu'il s'agit. En effet, l'époque médiévale était encore peu avancée du côté des connaissances scientifiques et médicales.
Selon le Telegraph, les historiens associent cette pratique à la culture slave dans les siècles suivant l'adoption du christianisme par les tribus païennes. Reste maintenant pour les archéologues à déterminer l'origine exacte des tombes polonaises afin de pouvoir en apprendre davantage sur les cultes de l'époque.