Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
Bernard Le Coq est né en 1950 au Blanc dans l’Indre. Attiré par la comédie, il décide de s’inscrire au cours Viriot à Paris alors qu’il n’a que 15 ans et fait ses premiers pas à l’écran en 1966 dans Les grandes vacances.Bernard Le Coq se voit alors proposer le premier rôle dans La leçon particulière et ne tarde pas à enchainer les tournages aux côtés des grands noms du cinéma.
Ses succès au cinéma et au théâtre
Claude Sautet l’engage pour César et Rosalie, puis c’est au tour de Claude Lelouch avec Mariage puis À nous deux. En 1972, Bernard Le Coq est à l’affiche Les Feux de la chandeleur et monte les marches du Festival de Cannes. On le voit aussi dans Le Toubib avec Alain Delon, mais également au théâtre, où il s’illustre dans de nombreuses pièces (Une aspirine pour deux de Woody Allen, À la renverse ou encore L’étrangleur s’excite mis en scène par Jean Rochefort) et à la télévision.
Sa carrière d'acteur populaire à la télévision
En 1978, Bernard Le Coq fait une apparition dans le téléfilm Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut, puis s’illustre au côté de Véronique Jannot dans Pause-café en 1983. Mais, c’est avec Une famille formidable à partir de 1992 que l’acteur devient populaire. Au cinéma, il est nommé aux Césars la même année pour Van Gogh, puis tourne Les Patriotes, Le Capitaine Conan, Joyeux Noël, La Taule, Se souvenir des belles choses qui lui vaut une statuette, L’École de la chair, Au plus près du paradis, La Fleur du mal, La demoiselle d’honneur ou encore Vent mauvais.
De retour sur le petit écran pour Clara Sheller, Le Clan Pasquier, sans oublier son rôle de patriarche dans Une famille formidable, Bernard Le Coq confirme à chaque apparition son statut d’acteur plébiscité par le public.