De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Depuis 2022, l’inflation atteint des sommets et les Français ne cessent de voir le montant de leur ticket de caisse augmenter, mois après mois. Après près de deux mois en 2023, la tendance ne semble pour le moment pas s’inverser et le pouvoir d’achat ne s’améliore pas.
Plusieurs experts prédisent même un mois de mars rouge pour les consommateurs en raison des fortes hausses de prix qui pourraient se produire. Cependant, pour le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, ce scénario ne doit pas être redouté. "Il n’y aura pas de mars rouge, il n’y a aucune raison qu’il y ait de mars rouge", a-t-il ainsi martelé le lundi 20 février sur l’antenne de BFMTV, réclamant qu’on arrête "de jouer sur les peurs des Français".
"Pas de mars rouge" assure Bruno Le Maire
"Ces discours sur le mars rouge, le décembre noir... Toutes les couleurs de l’arc-en-ciel vont y passer. Ce n’est pas la réalité", a ainsi déclaré le ministre. Cette théorie sur le mois de mars a pris place en raison de périodes de négociations qui s’achèvent au plus tard le 1er du mois. Or celles-ci sont particulièrement tendues cette année à cause de l’inflation, rapporte le Huffington Post.
"Oui, l es prix ont augmenté depuis novembre de l’ordre de 13 % et nous allons rester à des niveaux de prix qui sont très élevés", assure-t-il avant d’insister "il n’y a aucune raison que les prix s’enflamment à partir du mois de mars".
Entre 2022 et 2023, les prix ont ainsi fortement augmenté dans tous les champs de la consommation et en particulier dans le domaine de l’alimentaire. Le petit-déjeuner, réputé comme le repas le plus important de la journée, n’a pas échappé à ces hausses de prix. Voici les produits phares de ce repas qui ont été particulièrement impactés par l’inflation.