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L'huile d'olive vierge extra Émile Noël : trop de peroxyde

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© Émile NoëlHuile d'olive vierge extra

D'après 60 millions de consommateurs, l'huile d'olive vierge extra Émile Noël contiendrait près de la moitié de la limite autorisée de peroxyde (20 milliéquivalents [mEq] d’oxygène/kg), qui dénature son goût.

C'est également le cas des huiles Cauvin et Tramier.

L'huile d'olive vierge extra Monoprix : trop de peroxyde

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© MonoprixHuile d'olive vierge extra

D'après 60 millions de consommateurs, l'huile d'olive vierge extra Monoprix contiendrait près de la moitié de la limite autorisée de peroxyde (20 milliéquivalents [mEq] d’oxygène/kg), qui dénature son goût.

C'est également le cas des huiles Cauvin et Tramier.

L'huile d'olive vierge extra Carapelli bio : trop de peroxyde

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© CarapelliHuile d'olive virge extra

D'après 60 millions de consommateurs, l'huile d'olive vierge extra Carapelli bio contiendrait presque autant de peroxyde que la limite autorisée (20 milliéquivalents [mEq] d’oxygène/kg), qui dénature son goût.

L'huile d'olive Terra Delyssa : un perturbateur encocrinien/phtalate

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© Terra DelyssaHuile d'olive vierge extra

D'après 60 millions de consommateurs, l'huile d'olive vierge extra Terra Delyssa contiendrait 3,5 mg/kg de di-éthylhexyl phtalate (DEHP), classé perturbateur endocrinien avéré et reprotoxique par l’Agence européenne des produits chimiques.

Le magazine précise : "ces molécules migrent le plus souvent des cuves, bâches, tuyaux utilisés lors du stockage ou du transport. La réglementation européenne interdit l’utilisation de matériaux contenant des phtalates dans la chaîne de production et de stockage des corps gras comme l’huile d’olive."

L'huile d'olive Carapelli : un perturbateur endocrinien/phtalate

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© CarapelliHuile d'olive vierge extra

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