La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
L’urne cinéraire les cendres du défunt est obligatoirement munie d’une plaque indiquant l’identité du défunt et le nom du crématorium. Après la crémation, l’urne est confiée à la garde de la personne ayant qualité à pourvoir aux funérailles. Elle peut être conservé par le crématorium ou dans un lieu de culte durant une période ne pouvant excéder un an.
L’urne accueillant la totalité des cendres sera :- soit inhumée dans la sépulture familiale,- soit scellée dans un monument funéraire familial- soit déposée dans le columbarium du cimetière
En aucun cas, l’urne ne sera conservée dans un domicile privé.
Par ailleurs, les cendres peuvent être dispersées, en totalité, dans les seuls lieux autorisés :- soit dans un “jardin du souvenir“ (un carré de pelouse dans le cimetière),- soit dans un lieu naturel.
En aucun cas les cendres ne peuvent se disperser sur la voie publique, dans un lieu public (square, stade, place, etc…), ni dans un jardin privé.Par lieu naturel, on entend un espace de pleine nature, accessible mais non aménagé, et éloigné des habitations. La dispersion en pleine mer ou dans les cours d’eau est parfois soumise à restriction.Dans tous les cas, la dispersion des cendres exige une déclaration obligatoire à la mairie de la commune de naissance du défunt. Cette déclaration devra indiquer la date et le lieu de dispersion des cendres.
A lire aussi : Rites funéraires : la bataille des cendres et le statut légal des restes humains
En vidéo sur le même thème : Le boom de la crémation