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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Parfois, il faut savoir faire preuve d’inventivité ! C’est peut-être ce que s’est dit cet escroc, dont l’histoire est narré dans les colonnes du Progrès. Le trentenaire, originaire de Lons-le-Saunier (Jura) est connu pour son habitude à arnaquer les autres. Dorénavant, c’est à sa banque qu’il a décidé de se prendre ! En arpentant le net - et tout particulièrement les réseaux sociaux - il a trouvé une nouvelle technique à ajouter à son répertoire. Pour continuer à toucher de l’argent facile, le malandrin s’est donc fait passer… pour une entreprise.
Le mode opératoire est assez simple : en usurpant la qualité d’entreprise, il a rempli un certain nombre de faux bordereaux de commerçants, sur lesquels l’escroc indiquait donc des sommes fictives. Apportant ensuite le document à la banque, il attendait que l’argent soit crédité sur son compte par son conseiller… pour ensuite le récupérer en liquide au premier distributeur venu. En trois fois seulement, il aura récupéré plus de 1 000 euros. Le premier tirage lui a en effet rapporté 200 euros, le deuxième 400 et le dernier 450 euros.
Il n’a cependant pas eu l’occasion d’en profiter davantage.
Fort heureusement, La Banque Populaire a fini par toucher du doigt le problème. Constatant l’escroquerie, elle a porté plainte. Il a été jugé le 7 septembre 2021 et le procureur a requis trois à quatre mois de prison ferme pour ce multi-récidiviste — son casier fait état de 15 mentions comparables. Il en fera finalement trois.
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