De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"J'aurais beaucoup de temps libre, donc je peux vraiment rester jusqu'à Noël. Il n'y a pas de souci", a ironisé Bruno, l’actuel maître de midi du jeu de TF1 présenté par Jean-Luc Reichmann. Une plaisanterie qui devrait ravir les plus fervents téléspectateurs des 12 coups de midi dont il est devenu la coqueluche et dont certains lui font parvenir des demandes insolites sur les réseaux sociaux. Avec ses 402 254 euros de gains, remportés en 90 participations, Bruno est à la 6ème place du classement des gagnants de l'émission. Et il ne compte pas s’arrêter là. "J'aurais peut-être besoin d'argent dans les temps à venir", a-t-il lâché, lundi 19 avril sur le plateau de TF1.
"J’ai appris mon licenciement la semaine dernière"
En effet, le candidat de 29 ans qui enchaîne les victoires est heureux dans le jeu, mais triste en affaires. Si la semaine dernière, il a frôlé à plusieurs reprises l’élimination, cet Occitan ne compte pas lâcher de sitôt son étoile. Encore plus depuis qu’il s’est fait virer de son entreprise comme il l’a annoncé lundi 19 avril à Jean-Luc Reichmann. "J’ai appris mon licenciement la semaine dernière", a-t-il expliqué avant de poursuivre en annonçant que cette nouvelle ne l’avait pas surpris. "Je m’en doutais. Il y a un plan social dans l’entreprise et une personne par pôle devait partir".
Jeune chargé d’études dans une régie publicitaire sur une chaîne sportive, Bruno était face à des collègues avec plus de 20 ans d’ancienneté et des enfants à charge, le jeune brun savait qu’il ne faisait pas le poids. "Je savais que ça allait tomber sur moi et j’ai eu la confirmation officielle vendredi." Une mauvaise nouvelle que le maître de midi a pris avec philosophie et dont il préfère s’amuser. On ne peut que lui souhaiter de poursuivre son magnifique parcours dans le jeu de la Une.
Une incroyable aventure dont Bruno a du mal à réaliser la portée. "Je ne m’en rends absolument pas compte. Pour l’instant, je n’ai encore rien touché donc c’est un peu virtuel", expliquait le maître de midi à Planet en mars dernier. "On perd très vite le compte puisqu'on enchaîne les tournages. À chaque fois que Zette me rappelle ma cagnotte, c'est toujours un choc." Comme il le confiait, lundi 19 avril à Jean-Luc Reichmann, le maître de midi ne réalisera son exploit que lorsqu’il recevra "un chèque géant". "Ça fait très virtuel pour l'instant", a-t-il ajouté.