La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Pépita est sortie du silence. Après la diffusion d'images de 'Pyramide' dans la toute première émission de Canap 95, qui retraçait les images marquantes de l'année 1995, sur TMC, les critiques ont fusé sur les réseaux sociaux. Le traitement de Pépita, co-animatrice de l'émission, a été fustigé et "Pyramide" accusée de racisme et de misogynie. "Je ne tolèrerais jamais, je suis enragée, qu'on puisse accuser Patrice Laffont, Pyramide de racisme et de mysogynie. Ces gens-là m'ont super protégée !", a-t-elle assuré par téléphone sur le plateau de TPMP ce jeudi 1er avril au soir. Elle estime que les images ont été montées "pour les faire passer pour des monstres".
"Personne n’a perçu cela comme du racisme"
Pour elle "c'est un montage, ce ne sont pas des images complètes". "On touche pas à mon Patou et on touche pas à Pyramide. J'étais bien avec eux et là c'est moi qu'ils ont sali", s'emporte avec émotion Pépita. Celle qui est désormais âgée de 48 ans réfute les accusations de racisme et de mysoginie proférées contre l'émission. "S’il y a un endroit où je n’ai jamais vécu le manque de respect, la misogynie ou le racisme, c’est sur le plateau de 'Pyramide'", assure-t-elle également dans Le Parisien. L'ancienne animatrice parle de franche camaraderie et promet ne s'être jamais sentie visée par du racisme. "Il suffit de regarder la séquence dans son intégralité pour comprendre qu’elle n’était pas du tout raciste. On en riait entre nous, de bon cœur. Il n’y avait aucun malentendu ni sous-entendu. Personne n’a perçu cela comme du racisme à l’époque", explique-t-elle auprès du quotidien.
"Entre nous, nous étions une vraie famille, à l’antenne comme en coulisses. Les personnes qui m’ont humiliée, ce sont celles de 'Canap 95'. Pas eux", lance Pépita. Selon elle, l'émission de TMC l'a "fait passer pour la Noire qui subit le racisme, qui n’a pas eu le choix pour avoir un travail...". "On va où là ? Qui sont-ils pour parler à ma place ? Il n’y a que moi qui puisse dire si j’ai subi ou pas quelque chose ! Je suis très en colère et très déçue", conclut-elle.