Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Yann Moix, cet incroyable caprice du chroniqueur télé : accueilli "comme un clébard"
C’est Ouest France qui révèle l’affaire dans un billet d’humeur. Après avoir pris la défense de Michael Jackson, qui selon ses dires "n’était pas pédophile car il était lui-même un enfant", le chroniqueur et auteur fait encore parler de lui.
Ce mardi 12 mars, à l’occasion de la sortie de son nouveau livre Rompre, il était attendu par 130 personnes à Rennes, pour une conférence publique. Tout a dérapé pour un simple verre d’eau raconte le quotidien régional. "Dans la rue, il fulmine : 'Je demande un verre d’eau, on m’envoie à l’étage dans les toilettes boire au robinet. Comme un clébard.'"
Il semblerait toutefois qu’il ait eu quiproquo…
Yann Moix, cet incroyable caprice du chroniqueur télé : une erreur d’interprétation
Il lui aurait suffi de se rendre à l’étage pour s’en rendre compte. Car comme l’assure le journal, il y avait bel et bien des bouteilles d’eau : "Vous nous voyez accueillir Yann Moix, écrivain, chroniqueur et réalisateur et ne pas lui prêter de considération ? A l’étage, il y avait des bouteilles d’eau et la bibliothèque où on reçoit les personnalités. Yann Moix n’a pas attendu de le savoir. Il a disparu."
Il reste introuvable un moment, et le représentant de son éditeur enchaîne les coups de fils : "Il a fait un malaise, il est surmené, il va revenir".
Dans la salle, tout le monde s’impatientait et s’interrogeait, jusqu’au moment où il décide de revenir : "Je fais la conférence et je me casse", aurait-il lancé. "Il fulminait, relate Ouest France. Il a chassé la personne chargée de l’interviewer devant le public. Pour expliquer son retard, il a redit qu’il avait été maltraité. Pendant une petite heure, Yann Moix a répondu aux Rennais. Puis il s’est cassé, comme il dit."
Avant de conclure : "On s’est étonné que sa tête passe encore la porte."