De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Peu à peu, il devrait conquérir l'essentiel de la planète. Le variant britannique du coronavirus Covid-19, aussi appelé "Variant of Concern" (VOC) 202012/01, s'est d'ores et déjà établi dans plus de soixante pays et territoires. Cela représente une progression considérable, puisqu'en l'espace d'une semaine, il a gagné dix nouvelles nations. Comme son cousin sud-africain, il s'avère particulièrement plus contagieux que le virus auquel le monde fait face depuis de longs mois déjà. Or, rappelle Le Monde, c'est précisément ce qui peut rendre une pathologie dangereuse.
Naturellement, ce n'est un secret pour personne, la France fait partie des pays contaminés par le variant britannique. D'après Var-Matin, un quotidien régional, l'ensemble des régions de l'Hexagone sont désormais touchées. C'est en tout cas ce qu'affirme l'Agence Régionale de Santé locale… ce qui s'avère parfois contradictoire avec les propos d'autres agences, comme l'explique L'Est Eclair.
Coronavirus : le variant est-il difficile à détecter ?
A la mi-janvier 2021, environ 40 contaminations au variant anglais étaient recensées sur le territoire français, rapporte Libération. Un chiffre probablement sous-estimé, puisqu'il semble encore difficile de détecter les cas de coronavirus "variant UK".
Récemment encore, certains internautes affirmaient que seuls 30% des laboratoires étaient en mesure de détecter le VOC 202012/01. Ce chiffre, détaille LCI, ne vient pas de nulle part. C'est Arnaud Fontanet, membre du Conseil scientifique, qui l'a évoqué le premier. Sur le plateau de BFMTV, il affirmait notamment que la mutation n'était pas "détectée de la même façon par les tests PCR que les autres virus". "25 à 30% des laboratoires français sont équipés de PCR qui ont donc un signal efficient quand on est en présence de ce variant", avait-il encore affirmé.