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Le ministre de la Santé est inquiet. Et il n'est pas le seul ! Le variant britannique s'installe de plus en plus durablement sur le sol, au point peut-être de reproduire le scénario catastrophe survenu en Angleterre. C'est en tout cas ce que craint Damien Mascret, journaliste et médecin, dont les propos sont repris par France Info. "Au début du mois, on était moins de 2% de variant et on apprend aujourd'hui qu'on est autour de 10% sur le sol national. Au Royaume-Uni, fin novembre, ils étaient à peu près à la situation où on est aujourd'hui, c'est-à-dire 10% de variant. Ensuite, deux semaines plus tard, ils avaient doublé les cas. S'il se passe la même chose en France, cela veut dire qu'on passera à 40 000 cas par jour", alerte-t-il sur le plateau du 19/20.
Le variant britannique est plus contagieux que le SARS-CoV 2
Pour Olivier Véran, il s'agit désormais d'éviter "une épidémie dans l'épidémie", explique Le Monde. D'autant plus que l'on observe une forte hausse des hospitalisations en cas de contamination au coronavirus Covid-19. "Depuis septembre, on hospitalisait environ une personne sur vingt cas avérés de Covid-19, mais depuis deux-trois semaines, on est passé à une personne sur treize environ", indique en effet Mahmoud Zureik, professeur d'épidémiologie et de santé publique à l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.
De son côté, Santé Publique France vient de dévoiler les résultats de l'étude flash visant à mieux dessiner et comprendre la carte de l'implantation du variant britannique. Hélas, la Corse n'est pas encore répertoriée dans les documents officiels. Plus de détails dans notre diaporama.