La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Une année catastrophique. Selon les prévisions de la Banque de France, l’année qui se termine a été encore pire que ce que l’on craignait. "Avant la deuxième vague, nous pensions qu'on aurait une récession d'un peu moins de 9%, nous pensons aujourd'hui que sur l'ensemble de l'année 2020 on sera entre -9% et -10%" de contraction du PIB", a récemment indiqué sur France Inter le gouverneur François Villeroy de Galhau.
Sans pandémie, le PIB aurait dû augmenter de 1% en 2020. La récession se chiffre ainsi entre 10 et 11%, rapporte France Soir.
Le 14 décembre dernier, la Banque de France publiait son "scénario central" pour 2021, en estimant la croissance à seulement 5%. Que se cache-t-il alors derrière ce chiffre ?
3ᵉ confinement : se lit-il dans la faible croissance prévue ?
Si l’on fait le compte, la perspective est loin d’être florissante. En effet, avec moins 10% en 2020 et plus 5% en 2021, à la fin de l’année prochaine, nous serons encore à moins 5% du niveau que nous aurions dû atteindre s’il n’y avait pas eu de crise sanitaire.
Ce faible 5% de croissance prévu par la Banque de France pour 2021 interroge. On aurait pu s’attendre à un rebond un peu plus important. D’ailleurs, l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), prévoit à l’heure actuelle une croissance de 7% l’an prochain.
"L’hypothèse est que l’épidémie ne cesserait pas immédiatement et que le déploiement généralisé de vaccins ne serait pleinement effectif que fin 2021", détaille la Banque de France dans son communiqué du 14 décembre.
L’emploi de ces conditionnels ne présage-t-il pas alors la troisième vague à venir ainsi qu’un nouveau confinement ? Affaire à suivre…