Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
"On n’est pas facho parce qu’on aime les régions", c’est de cette façon que Jean-Pierre Pernaut, présentateur du JT de TF1, se défendant des accusations dont il a plusieurs fois fait l’objet. En place depuis 30 ans, le journaliste assure sur Europe 1 qu’il essaye de faire son travail le mieux possible et tant pis "si ça ne plaît pas à certains bobos, c’est leur problème. Moi, j’essaie de faire de l’information".
D’ailleurs sur son travail, Jean-Pierre Pernaut fait valoir son sens de la rigueur. Quand on l’accuse d’avoir un caractère sanguin, le présentateur rétorque : "J’ai toujours envie que le journal soit parfait. Mon rôle c’est de donner une impulsion (…) Il n’y a pas de colère froide et méchante".
Son métier
Dernièrement Jean-Pierre Pernaut a été l’objet de plusieurs plaintes au CSA, en cause ses propos sur les SDF et les migrants. "Voilà, plus de places pour les sans-abris mais en même temps les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France", avait-il notamment déclaré dans son JT de 13 heures. Commentant l’affaire peu après sur le plateau de Salut Les Terriens, Jean-Pierre a maintenu ses déclarations : "On m’a accusé de mettre les deux infos en opposition, non : j’ai fait mon métier de journaliste (…) Si j’avais à le redire demain, je le redirais".
Bien conscient de ne pas plaire à tout le monde, le présentateur préfère se préserver : "J’essaie de me blinder. C’est normal qu’il y ait des critiques. S’il n’y en avait pas, on ferait 100% de parts d’audience, pas 45".