De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Qui est Sandrine Doucen : avocate de profession, elle n’est pas l’épouse de Richard Ferrand
Cela fait des années qu’elle partage la vie de Richard Ferrand. Pourtant, Sandrine Doucen n’est pas l’épouse du futur président de l’Assemblée nationale : ils ne sont en effet ni mariés, ni pacsés.
Si la date exacte de leur rencontre n’est pas connue, il est évident qu’elle a eu lieu au début des années 2000 au plus tard. En effet, quand elle était encore étudiante en droit, elle a été rémunérée par les Mutuelles de Bretagne, l’organisme dirigé par Richard Ferrand. D’après L’Express, qui s’appuie sur les informations du Canard Enchaîné, elle a été embauchée en tant que directrice du personnel. Au total elle aurait touché 80 000 euros.
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Avocate de profession, Sandrine Doucen a prêté serment en 2004. Elle est aujourd’hui enregistrée au barreau de Brest et est membre de l’Association Française des Praticiens du Droit Collaboratif (AFPDC). Elle s’est spécialisée dans différents domaines d’activité : droit de la famille, des personnes, des enfants, de leur patrimoine, ainsi que dans le droit pénal.
Avant que le Canard Enchaîné ne fasse lumière sur l’affaire Ferrand et sur le rôle joué par Sandrine Doucen, elle était très discrète médiatiquement souligne Closer. Cependant, elle a tout de même été aperçue aux côtés de son compagnon à l’occasion du vote des élections législatives de 2017.
Qui est Sandrine Doucen : impliquée dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne
La compagne de l’ancien ministre de la Cohésion des territoires est au cœur de l’affaire des Mutuelles de Bretagne qui a poussé Richard Ferrand à démissionner.
En mai 2017, le Canard Enchaîné dévoilait les opérations immobilières menées en 2011 par le futur président de l’Assemblée nationale et qui ont enrichie Sandrine Doucen. Les Mutuelles de Bretagne, dirigées par Richard Ferrand, cherchaient un local pour y installer un de leurs centres de soin, à Brest. Le socialiste a donc acheté, pour sa compagne, des locaux correspondant aux attentes de l’organisme. Avant la signature du compromis de vente, une société civile immobilière (SCI) se substitue à lui.
L’avocate loue ensuite les locaux aux Mutuelles de Bretagne. Propriétaire de la SCI à 99%, elle acquiert en 2013 un logement de 353 000 euros à Paris, payé par les loyers des locaux brestois, rapporte le Monde. Une instruction judiciaire a été ouverte.