Paul G., 31 ans est accusé d’avoir violé Gisèle Pelicot en 2016. Il a reconnu les faits dans leur totalité ce vendredi 8 novembre, avant de faire part à la cour de son souhait de devenir pasteur.
Rebelote. Il y a un an Rachida Dati et Elise Lucet se jetaient des noms d’oiseaux à la figure dans les couloirs du Parlement européen. A l’époque, la journaliste de France 2 préparait un reportage pour "Cash Investigation" et soupçonnait l’eurodéputée LR d’avoir pris part à un conflit d’intérêt. "Je n’ai pas peur de vous, ma pauvre fille", avait alors lancé Rachida Dati à Elise Lucet, allant même jusqu’à qualifier sa carrière de "pathétique".
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Un an après, il semblerait que l’ancienne ministre n’a toujours pas digéré cette affaire. Invitée mercredi matin sur Franceinfo, elle a en effet assuré qu’elle ne regrettait pas les propos qu’elle avait tenus et a même enfoncé le clou. "Dites-moi ce que madame Lucet a révélé dans sa vie ? Quel est le fait d’armes de sa carrière journalistique ?", a-t-elle demandé à Jean-Michel Aphatie, avant d’insinuer que la journaliste "faisait des ménages et se faisait payer par des boites". Et l’eurodéputée d’ajouter : "Ce n’est pas une histoire de preuves, il suffit de trouver, c’est facile. Comme journaliste, vous avez le droit de le faire".
"C’est limite diffamation ce qu’elle dit là"
Des affirmations qu’Elise Lucet a rapidement commentées. "Je ne fais pas de ménages, je travaille simplement à France Télévisions, je travaille pour Cash Investigation. C’est limite diffamation ce qu’elle dit là, parce que c’est complètement faux, a démenti la journaliste sur France Inter. Après elle dit ‘il suffit de chercher’. Elle va perdre du temps, beaucoup de temps".