La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Voilà désormais des mois que nous sommes privés des belles tables de nos restaurants. Pour les gérants des bistrots, des grands palaces ou des simples buvettes, l'attente est interminable.
Peu de gens le savent, mais certains points de restauration restent ouverts. La fermeture de ces établissements assez spécifiques serait une catastrophe pour ceux ayant l'habitude de les fréquenter.
Le gouvernement a ainsi permis la réouverture des restaurants routiers le 4 novembre 2020. Cette dérogation répondait en fait aux revendications des syndicats du secteur. Ces établissements sont en effet indispensables pour les chauffeurs pour se restaurer d'une part mais aussi pour se laver.
Pour ces hommes et ces femmes qui passent leur vie sur les routes de France et d'ailleurs, c'est aussi le seul endroit qui peut offrir un peu de convivialité et de chaleur humaine. Pendant le premier confinement, les chauffeurs routiers s'étaient parfois retrouvés face à des portes closes, rappelle France Bleu.
Des établissements absolument nécessaires
Le site spécialisé France Routes répertorie ainsi tous les restaurants ouverts à travers l'Hexagone. Notez qu'il est nécessaire de présenter sa carte professionnelle pour pouvoir accéder aux restaurants ouverts.
Les restaurants universitaires gardent également leur portes ouvertes. Une absolue nécessité pour des étudiants déjà en très grande difficulté économique et psychologique. Comme le rapporte Femme Actuelle, cette mesure est en place depuis février 2021. Le site du Crous Paris établit ainsi la liste de tous les établissements accuillant du public. Le personnel des universités peut également bénéficier de cette autorisation.
Au-delà de s'alimenter, les repas et les dîners sont un moyen pour ces jeunes de rompre la monotonie des journées rythmées par les cours à distance. Selon une étude Ipsos parue en novembre 2020, 30% des étudiants auraient eu "des pensées suicidaires ou ont songé à se mutiler", au cours des derniers mois.