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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© abacapressSi la lutte contre l’homophobie et le racisme sont des combats prédominants lors de cette Coupe du monde de football, celle contre le sexisme commence à intéresser la FIFA.
Gros plans sur les jolies supportrices, journalistes agressées en plein direct et insultées sur les réseaux sociaux, publicités sexistes, agressions sexuelles et humiliations quotidiennes des supportrices... Ces incidents se multiplient depuis le début de ce mondial et deviennent intolérables. Le sexisme, qui avait pris un grand coup avec le mouvement MeToo il y a un an, réapparait au grand jour et entraîne la FIFA à prendre des mesures radicales.
La Russie serait particulièrement concernée, notamment à cause du match d’ouverture contre l’Arabie Saoudite où "une supportrice particulièrement glamour avait eu souvent les faveurs du réalisateur local" rapporte Le Parisien.
Lors d’une conférence de presse donnée mercredi, le responsable du programme diversité de l’organisation, Frederico Addiechi, a demandé que les retransmissions télévisuelles des matches ne mettent plus en avant les supportrices sexy présentes dans les tribunes. Il a également déclaré collaborer avec la police et les organisateurs locaux afin d’interdire l’entrée du stade à toute personne agressant journalistes et supportrices. La FIFA va maintenant discuter avec leurs équipes et les diffuseurs nationaux des matches de football afin de pouvoir établir une solution durable.
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