Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Un sexisme très présent
Si la lutte contre l’homophobie et le racisme sont des combats prédominants lors de cette Coupe du monde de football, celle contre le sexisme commence à intéresser la FIFA.
Un sexisme pas que sur les écrans
Gros plans sur les jolies supportrices, journalistes agressées en plein direct et insultées sur les réseaux sociaux, publicités sexistes, agressions sexuelles et humiliations quotidiennes des supportrices... Ces incidents se multiplient depuis le début de ce mondial et deviennent intolérables. Le sexisme, qui avait pris un grand coup avec le mouvement MeToo il y a un an, réapparait au grand jour et entraîne la FIFA à prendre des mesures radicales.
La Russie serait particulièrement concernée, notamment à cause du match d’ouverture contre l’Arabie Saoudite où "une supportrice particulièrement glamour avait eu souvent les faveurs du réalisateur local" rapporte Le Parisien.
La FIFA prend les choses en main
Lors d’une conférence de presse donnée mercredi, le responsable du programme diversité de l’organisation, Frederico Addiechi, a demandé que les retransmissions télévisuelles des matches ne mettent plus en avant les supportrices sexy présentes dans les tribunes. Il a également déclaré collaborer avec la police et les organisateurs locaux afin d’interdire l’entrée du stade à toute personne agressant journalistes et supportrices. La FIFA va maintenant discuter avec leurs équipes et les diffuseurs nationaux des matches de football afin de pouvoir établir une solution durable.