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"Pénurie", "rupture de stock" ou encore "inflation". Il y a encore quelques mois, ces mots n’avaient pas un tel impact dans la vie des Français. Aujourd’hui, ils sont ancrés dans la réalité et dans leur quotidien. Aliments, services, énergies ou encore médicaments, tous types de produits ont été affectés par au moins l’un de ces trois événements au cours de l’année 2022.
Si 2023 a commencé depuis maintenant un mois, l’inflation, les ruptures de stock et les pénuries n’ont toujours pas disparu. En effet, de nombreux médicaments utilisés couramment tels que le Doliprane ou l’Efferalganmed sont parfois difficiles à trouver. Comme le précisait franceinfo au début du mois de janvier, 70% des pharmacies françaises étaient par exemple en rupture de stock d’amoxicilline, une molécule particulièrement utilisée dans les traitements pour les enfants.
Pénurie de médicaments : la stratégie du gouvernement
Face à cette réalité, les ministres de la Santé de la Prévention, François Braun, et celui chargé de l’Industrie, Roland Lescure, ont réuni, le 2 février, un comité de pilotage dans le but de faire un bilan sur cette situation inquiétante, rapporte Capital. Cette rencontre a aussi amené à la mise en place de la stratégie nationale de prévention contre les pénuries dans le domaine pharmaceutique.
A la suite de ce comité, les ministres ont dévoilé un communiqué commun pour révéler les mesures qui allaient être prises pour pallier au problème de pénurie et se prémunir contre celles qui pourraient se présenter à l’avenir. Découvrez dans notre diaporama 5 questions auxquelles ce document apporte une réponse.