Le 25 novembre prochain, l’administration fiscale prélèvera une nouvelle somme sur le compte des contribuables concernés par un rattrapage de l’impôt sur le revenu. Êtes-vous concerné ?
Patrice Chéreau, un des maîtres de la scène européenne au théâtre comme à l’opéra, est décédé ce lundi 7 octobre. Le metteur en scène engagé a succombé à un cancer du poumon à l’âge de 68 ans. Suite à l’annonce de sa mort, de nombreuses personnalités ont réagi sur les réseaux sociaux.A l'instar de Michèle Delaunay qui a commenté la mort du réalisateur avec un message plutôt maladroit. La ministre déléguée aux Personnes âgées, par ailleurs médecin, a publié un "tweet" qui en a laissé sceptique plus d’un : "Mort de Patrice Chéreau d'un cancer du poumon N'est-ce pas la cigarette qu'il faudrait vendre en pharmacie et fermer dans le coffre à toxiques?", a-t-elle écrit sur le réseau social. Un message en référence au débat actuel sur la commercialisation des cigarettes électroniques, estimé plutôt déplacé par certains internautes qui ont fait part de leur indignation avec des commentaires très critiques. "Je ne reprendrai pas le tweeter de Michèle #Delaunay sur #Chereau car on m'a toujours dit de ne pas me moquer des personnes âgées.", a ainsi lâché ironiquement Adrien Caty. Débat houleux sur TwitterAprès la vague de réponses qui a découlée suite à son tweet, Michèle Delaunay a tenu à répondre à ses contestataires. Quand Loïc Bodin, un membre du réseau social twitter, déclarait que c’était une "récupération indigne", voici la dite réponse de la ministre : "En quoi est-ce une récupération ? Je suis révoltée que l'on meure encore de cette arme de destruction massive". Avant de conclure suite à une réaction de Colette Simon qui affirmait que "la sécheresse" de la réaction de Michèle Delaunay n’avait "d’égale que son indécence" : "Seulement une immense souffrance pour Chéreau et tous ceux que j'ai accompagné dans la mort. Ce sera mon dernier commentaire". Pour beaucoup d’internautes, la ministre déléguée aux Personnes âgées a manqué de discernement entre le temps des condoléances et celui de la révolte.