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Ingenia prima, une nouvelle espèce de dinosaure ?
"Dès qu’on l’a trouvé, on s’est rendu compte que c’était que chose de différent. On a découvert une forme, la première à être géante au milieu de tous les dinosaures. Voila la nouveauté, explique Cecilia Apaldetti, chercheuse de l’Institut et musée de sciences naturelles de l’université de San Juan (IMCN) et du Conseil national de la recherche scientifique et technique (Conicet).
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Ce que viennent de découvrir ces chercheurs, c’est une nouvelle espèce de dinosaure, baptisée Ingenia prima, comme le rapporte France Info. Ce spécimen a vécu il y a plus de 200 millions d’années et mesurait entre 6 et 7 mètres. Il pesait d’ailleurs 10 tonnes, soit le poids de deux à trois éléphants.
Igenia prima serait une espèce de "dinosaures herbivores, quadrupèdes et qui se distinguent facilement par leur long cou et leur longue queue, du groupe des sauropodes", précise Cécilia Apaldetti.
New Jersey : un monstre marin préhistorique ?
Une américaine est récemment tombée sur les restes d’une créature très ancienne, indique le quotidien britannique The Daily Star.
Alors qu’elle courrait dans le parc d’Island Beach, Stephanie Hall a découvert une créature marine très étrange, rejetée sur la plage. Elle décide de la prendre en photo et de publier les images sur le site de sa ville natale pour que des pecheurs locaux parviennent à l’identifier. La plupart d’entre eux soulignent la ressemblance frappante de la bête avec un esturgeon, une espèce de poisson qui existe depuis l’époque du Trias, soit environ 250 millions d’années.
Les biologistes qui se sont penchés sur le sujet confirment cette analyse : il s’agit bel et bien d’un esturgeon, bien qu’ils n’aient pas su dire s’il s’agissait d’un specimen à museau court ou atlantique. Les deux espèces sont en voies de disparition. "Ce sont vraiment des créatures uniques, presqure des reliques de l’époque des dinosaures. Nous faisons beaucoup d’efforts pour surveiller les esturgeons de la baie du Delaware, où le deux espèces étaient autrefois abondantes", insiste Larry Hanja, du département de la protection de l’environnement du New Jersey.
Le loup-garou du Montana
En mai dernier, un éleveur américain avait abbatu une créature, dans le parc du Montana. A l’époque, la bête avait largement interloqué les spécialistes, tant et si bien que certains n’ont pas hésité à parler de loup-garou.
Depuis, les chercheurs ont pu identifier l’animal. Pour y parvenir, ils ont procédé à une analyse de son ADN. Il s’avère que la créature, tantôt présentée comme un ours, tantôt comme un chien, était en fait un loup. "L’animal était une jeune femelle non allaitante et un canidé, de la famille des chiens, qui inclut les chiens, renards, coyotes et loups", a constaté l’organisme qui a procédé à l’analyse, rapporte Le Dauphiné.
Si certains chercheurs avaient envisagé que la bête soit d’origine croisée, il s’agit donc bel et bien d’un banal loup gris âgé de 2 à 3 ans, précise ABC News. Une espèce somme toute assez courante dans la région.
Le monstre marin des Philippines
Une large créature s’est échouée sur les rives du Mindoro (Philippines) en mai dernier. D’après le quotidien britannique The Sun, les experts n’ont pas réussi à identifier son origine avec certitude. L’animal, long de 6 mètres, est recouverts d’un étrange duvet qui ressemble à des "cheveux blancs hirsutes" indique le site d’information scientifique Sciencepost.
Dans un état de décomposition avancée la bête est très probablement un mammifère. Elle a été enterrée récemment, mais des échantillons ont été prélevées pour pouvoir réaliser des examens à son sujet. "C’était horible. Ca sent quelque chose d’une autre planète. J’ai presque vomi. Je me sentais mieux après avoir pris un bain, mais la puanteur persiste toujours dans mon nez", a déclaré Vox Krusada, le responsable local de l’application des lois sur les pches, qui a prélevé les échantillons de tissu.
S’il s’agit probablement d’une baleine ayant été victime des tremblements de terre de la région, sa découverte est perçue comme un mauvais augure pour la ville, d’après Sciencepost, qui se fait l’écho d’un article du journal anglais Independant. "Beaucoup ont été alamrés, y compris moi, quand nous avons appris les nouvelles. On dit que lorsque des créatures des profondeurs de l’océan commencent à apparaître, quelque chose de mauvais arrive", raconte un habitant.
Le serpent aquatique du Chili
En juin dernier, des pêcheurs chiliens ont attrapé une impressionnante créature marine mesurant 5 mètre et pesant plus de 150 kilogrammes, raconte le journal anglais The Daily Mirror.
La bête, qu’ils ont d’abord pris pour un serpent de mer a été filmée par l’équipage. La vidéo est disponible sur Youtube. L’animal y est littéralement étalée sur le pont du navire.
Cette fois-ci, la créature n’a pas été très complexe a identifier : les pêcheurs ont remis leur prise à Miguel Araya, de l’université Artura Prat, à Iquique au Chili. "C’est une femmele de l’énorme poisson-ruban, également connue sous le nom du ‘roi des harengs’", a dévoilé le chercheur, cité par le site Sputnik. "Son estomac était pleins de restes de krills. Ces poissons vivent d’habitude en eaux profondes, mais il y a des cas enregistrés où ils se sont aventurés dans des eaux côtiers puisqu’ils étaient malades ou étaient à l’article de la mort", poursuit-il.
Chine : un animal mi-poisson, mi-oiseau
En juin, un pêcheur de la provaince de Ghizhou (sud de la Chine) a remonté dans ses filets un animal très étrange. Le corps est celui d’un poisson, mais la gueule ressemble beaucoup à celle d’un pigeon commun. Certaines de ses nageoires ressemblent d’ailleurs à de minuscules ailes, rapporte Mashable.
En pratique, cet animal "mi-poisson, mi-oiseau" a été identifié par le Ghizou Urban Newspaper comme une carpe tout ce qu’il y a de plus commune… Mais horriblement déformée. Sa boite crânienne se serait développée de façon problématique au tout début de la vie de l’animal. Certaines experts estiment que le poisson a été blessé alors qu’il n’était encore qu’un embryon. "Un gonflement provoqué par une difformité dans la région crânienne de son système squelettique a vraisemblablement causé l’inclinaison vers le bas de sa gueule", suggère de son côté Andrew Cossins, docteur en physiologie animale à l’université de Liverpool. Selon lui, la pollution environnementale est potentiellement responsable de la difformité de l’animal.