La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Des moments chargés d’émotions. Enfant, parent, frère ou sœur disparus… La perte d’un proche est toujours difficile à vivre. Et ce, que la mort soit survenue de manière naturelle, après une maladie ou de façon abrupte, à cause d’un violent accident. Les vivants sont amenés à se poser beaucoup de questions, du fait des non-dits, d’une décision qui a dû être prise, ou d’une situation incomprise. L’anxiété, la peur, la colère et la tristesse empêchent alors parfois d’avancer dans le processus de deuil. Certains essaient ainsi de reconnaître des signes, en vain, et se tournent donc vers des médiums, qui communiquent avec les défunts.
Anne Tuffigo et Pierre Yonas en ont fait leur activité principale en mettant leurs facultés médiumniques au service de leurs semblables. Ils ont accepté d’être filmés dans leur quotidien, par studio 89. Vous pouvez d’ailleurs retrouver depuis le 26 octobre, les différents épisodes de l’émission Medium : les messagers de l’au-delà, en exclusivité sur 6play.
Medium : ils vous accompagnent dans votre "chemin de deuil"
Pour la première fois, vous pourrez découvrir ce qu’il se passe réellement durant ces séances médiumniques. Etonnement, pleurs, rires, soulagement… Les personnes venant consulter ou passants interpellés passent par toutes ces émotions, grâce aux messages reçus de l’au-delà et transmis.
Cela vous laisse sceptique ? Visionner un épisode pourra peut-être vous faire changer d’avis. D’ailleurs, le groupe M6 l’assure : ce programme, présenté par Stéphanie Renouvin, est "réalisé sans trucage". Il devrait, sans aucun doute, "susciter votre curiosité".
Vos proches défunts sont-ils auprès de vous, constamment ? Anne Tuffigo, qui "accompagne les personnes dans leur chemin de deuil", a accepté de nous dévoiler comment se manifestent les messages qu’elle reçoit des défunts.
Medium : une faculté acquise durant l’enfance
L’autrice de "Ces âmes qui guident nos pas", ouvrage paru en 2019 chez Flammarion, a découvert ses facultés médiumniques très jeune, vers l’âge de 6 ou 7 ans. Elle apercevait des entités, des défunts, dans sa chambre, au pied de son lit. "J’ai longtemps vécu dans la frayeur", concède-t-elle. Cette passionnée de littérature, décide, à la suite du décès brutal de sa mère en 2004, de mettre ses facultés médiumniques, jusqu'alors gardées secrètes et inavouées, au service de ses semblables.
Consultations individuelles à son cabinet parisien, conférences à travers la France, ateliers de développement personnel et spirituel… Anne Tuffigo mène ces différentes activités au quotidien.
"Mettre mes facultés au service de mes pairs est pour moi un cadeau", nous confie-t-elle.
Messager de l’au-delà : "Je suis un outil de communication entre les morts et les vivants"
"Lors des consultations, les personnes viennent généralement avec des photos de la personne défunte avec laquelle ils souhaitent entrer en contact. Ce support visuel m’aide à percevoir plus facilement les ressentis. En revanche, en ce qui concerne les éclairages de vie, je demande seulement le prénom et la date de naissance qui est selon moi la carte d’identité de l’âme. Ensuite, j’attends et je reçois des mots, des images, des sensations. Je les délivre alors à ceux qui viennent me consulter", explique le medium.
Et d’ajouter : "Il n’y a toutefois pas de phénomène d’incorporation. Je suis consciente de ce que je dis et de ce que je vois. Je reste un pur canal, un outil de communication qui interagit avec les autres. Je garde pleine conscience de ce que je fais".
"Afin d’être sûre d’être en communion avec la bonne personne, je demande des indications sur la manière dont ils sont partis, sur leur personnalité, leur identité. Je corrobore ensuite les informations avec les consultants qui viennent me voir", poursuit-elle.
Medium : une émission pour "démystifier la profession"
Lorsqu’on lui demande pourquoi elle a souhaité participer à l’émission, Anne Tuffigo répond simplement : "J’avais envie de dépoussiérer et démystifier mon métier que j’exerce à présent depuis 13 ans, avec total respect. Je voulais qu’on puisse sortir de l’image de Mme Irma. On associe trop souvent la médiumnité à la peur, alors que cela peut aussi être drôle".
D’ailleurs, on peut s’en rendre compte au cours de deux épisodes de l’émission. Un jeune homme décédé dans un accident de voiture a souhaité faire savoir à l’un de ses frères que le tatouage qu’il avait fait à son image était bien fait, mis à part son nez ! Une mère dit également à sa fille qu’elle doit arrêter d’acheter des chaussures, d’autant que la plupart ne sont pas à sa taille…
"L’univers n’est pas sombre. Je voulais changer ce paradigme à travers mes livres, et cette émission", conclut Anne Tuffigo.