De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La vidéo d'un couple en plein ébats sexuels dans une boîte de nuit de Lille fait le tour des réseaux sociaux depuis quelques jours. La bande date de dimanche dernier et a été tournée pendant un concert du chanteur Lacrim à la discothèque Network, selon La Voix du Nord qui rapporte l'histoire. Sur les images on peut ainsi voir une jeune femme sur des canapés de la discothèque en train de faire une fellation à un jeune homme "qui sourit à deux téléphones portables les filmant".
Une scène qui fait beaucoup réagir sur les réseaux sociaux. Au point que des internautes s'en sont même pris à Bruno Mezouar, le patron de l'établissement. Une situation intenable pour ce dernier qui envisage de saisir la justice. "On reçoit plein de messages d'insultes, alors qu'on y est pour rien dans cet incident malencontreux. Nous sommes des victimes", a-t-il regrettté dans les colonnes du journal. Interrogé par La Voix du Nord, il assure que "personne n'a rien vu".
"Cela s'est passé à l'écart et ça a duré que quelques secondes, a-t-il déclaré. Si on les avait surpris, on les aurait mis dehors. Nous ne tolérons pas ces comportements".
" C'était un petit kif entre moi et ma copine"
L'homme présent sur la vidéo s'est quant à lui exprimé dès lundi sur les réseaux sociaux, rapporte encore le quotidien. "La femme qui était avec moi c'est ma meuf. J'avais bu énormément d'alcool. Un homme reste un homme, c'est parti en cacahuète. C'était un petit kif entre moi et ma copine. Ça a été mal envoyé à certaines personnes", a-t-il expliqué avant de préciser que la vidéo n'avait pas vocation à être diffusée : "Ca a été mal envoyé à certaines personnes".
Face à l'ampleur de cet évènement, le gérant de la discothèque Network a contacté un avocat. Dans un message posté sur le compte Facebook de sa discothèque, il a indiqué vouloir signaler ce qu'il s'est passé dimanche soir au procureur de Lille et porter plainte contre les internautes ayant envoyé des messages "d'injures ou de diffamation envers le Network".