Johnny Hallyday : une cinglante lettre d’Adeline Blondieau refait surface

L’ex-femme de Johnny Hallyday, Adeline Blondieau, fait de nouveau parler d’elle. Alors que la semaine dernière des fans du chanteur s’insurgeaient du sobre hommage qu’elle a lui a rendu sur Facebook, d’autres ont ensuite fait remonter à la surface une lettre accablante qu’elle avait écrite en réaction à la sortie de la biographie de la star en 2013, rapporte Voici. Dans cet ouvrage intitulé Dans mes yeux, Johnny Hallyday revenait sur leur relation. Virulent à propos de son ex-femme de 28 ans sa cadette, il racontait : "Adeline était hystérique, à la moindre contrariété, elle balançait les chaises par la fenêtre".

La comparant à "un serpent", il assurait même qu’elle le "cocufiait tout le temps" avec "tous les petits mecs de Saint-Tropez" et qu’ensuite elle "jouait les saintes-nitouches".

"Qui de lui ou de moi rejoignait l’autre dans sa chambre ?"

En réponse à ces mots, Adeline Blondieau avait fait paraître dans Le Point une lettre adressée à la biographe de son ex-mari, Amanda Sthers. Un texte dans lequel elle accusait Johnny Hallyday de l’avoir violée quand elle n’était encore qu’une adolescente. "Savez-vous, Madame, que vous évoquez ici une adolescente de 14 ans, qui naïvement avait pris pour un amour fou, un amour extraordinaire, le jeu d’un adulte de 43 ans, peut-on lire dans ce texte qui remonte en ce moment sur la toile. Vous êtes-vous demandée, qui de lui ou de moi rejoignait l’autre dans sa chambre, dans le silence de la nuit, quand l’alcool avait fait son effet ? Ce n’était pas moi. À 14 ans encore vierge, je ne représentais à mon avis pas un grand danger pour un homme ayant vécu sa vie".

Des accusations que la comédienne a longtemps maintenues, mais qui n’ont abouti à aucune condamnation, les faits étant prescrits. Marié en 1990 sur la Côte d’Azur alors qu’Adeline Blondieau avait 19 ans, le couple a ensuite divorcé deux ans plus tard, avant de se oui une seconde fois à Las Vegas aux Etats-Unis en 1994 et de se séparer définitivement un plus après.