De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Entre les clients impolis, les réclamations insolites, les actes de vandalisme et l’incivilité permanente, Robin Vettier, 21 ans, caissier le week-end au Carrefour de Fontainebleau, en a vu de belles. Il partage sur son compte Twitter l’enfer qu’il vit chaque semaine.
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"Sachez que nous, employés de magasins, sommes là pour vous aider. Pas pour vous défouler", a-t-il écrit dans son article publié sur l’Huffingtonpost, qui annonce d'emblée la couleur. Quand certaines histoires peuvent prêter à sourire, d’autres témoignages ont choqué la twittosphère qui n’a pas hésité à apporter son soutien au jeune étudiant.
Les histoires qui font sourire
Dimanche 11/02 : "Une dame m’appelle par téléphone et exige de parler au directeur pour savoir pourquoi les chansons qui passent dans le magasin sont en anglais et non en français. Elle nous ordonne de changer ça de suite".
Samedi 17/02 : "Une dame fait un scandale au personnel des rayons car les bouteilles de Coca n’ont plus d’images de lion dessus. Elle veut voir le directeur sur le champs."
Les histoires à dormir debout
Mercredi 01/11 : "Jour férié. Peu de caissières, beaucoup de clients. Une dame part sans payer ses articles (un énorme chariot) car elle a attendu 30 minutes. Nous avons dû lui dire que nous appellerons la police si elle franchissait la porte."
Samedi 17/02 : Robin Vettier poursuit son témoignage sur Twitter en racontant une histoire selon laquelle un homme aurait tenté de sortir du magasin avec sa poussette remplit d'articles qu'il n'aurait pas présenté à la caisse, refusant de les faire vérifier. "Il hurle, crie, nous menace", a précisé le jeune caissier dans son tweet.
Devant une telle colère, la sécurité aurait bloqué les portes pour empêcher l'homme - qui aurait utilisé son bébé comme "bélier" - de partir. Le client aurait finalement quité les lieux avec ses courses, laissant son fils dans le magasin. "On a dû le rattraper pour qu'il reprenne son gosse", conclut Robin Vettier.
Le jeune étudiant offre également le témoignage d'un homme réclamant de l'aide à cause de "deux pompes à essence H-S." Irrité, l'homme en question aurait demandé à Robin Vettier à voir le directeur, qui s'était absenté. "Vous vous foutez de ma gueule ? Où est le cahier des charges ?", aurait répondu le client du magasin, avant de poursuivre : "Arrêtez de jouer au con. JE suis le client, J'AI le droit. [...] Vous vous prenez pour qui en fait, à part jouer au con ? Vous n'êtes qu'un analphabète, un illettré, je savais que vous seriez inutiles avec vos manières là."
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