De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Qui était Elisa Pilarski, la femme enceinte dévorée ?
"Je ne te dirais jamais au revoir, mais à plus tard, car un jour on se retrouvera et nous pourrons à nouveau partager nos passions", publie une amie d’Elisa Pilarski sur son mur facebook. La jeune femme, âgée de 29 ans et enceinte de six mois a été retrouvée morte dans la forêt de Retz (Aisne). Mordue par un ou des chiens, elle était déshabillée quand son époux, qu’elle avait préalablement appelé sur son téléphone, a découvert son corps, rappelle Le Nouvel Observateur. Depuis, l’enquête avance et nombreux sont les internautes qui, cherchant à élucider les mystères qui entourent encore cette affaire, s’échangent des pistes et autres théories. Une question demeure cependant : qui était cette femme, décédée le 16 novembre 2019 lors de ce qui devait être une simple balade en forêt ?
Visiblement, Elisa Pilarski savait si elle attendait un garçon ou une fille ! Et pour cause : elle avait déjà choisi le nom de l’enfant. Sur facebook, réseau social très utilisé par ses proches, chez qui elle laisse un vide, plusieurs amies évoquent Enzo, son garçon à naître. "J’espère sincèrement que là où tu es avec Enzo, c’est un endroit plein de plénitude", écrit l’une d’entre elles.
Une chose est sûre : Elisa Pilarski aimait les animaux. Son mur regorge de photos de chiens, mais aussi de chevaux et c’était déjà le cas avant le 16 novembre. Quelques jours avant son trépas, la jeune femme publiait d’ailleurs une photo ainsi légendée : "Il y a des moments où je me dis que je devrais être plus sociable. Puis je souris et je vais passer ma journée avec des animaux. #Fuck off". Accompagnant le cliché, deux émojis. Le premier invite au silence d’un doigt sur la bouche comme pour dire "chut", le second rit à gorge déployée.
Qui était Elisa Pilarski : elle possédait plusieurs chiens et des chevaux
Avant sa mort, Elisa Pilarski raffolait d’un jeu simple, explique une internaute sur son mur facebook. Il consiste simplement à publier la dernière photo de son chien sur le réseau social. Ce que faisait régulièrement la presque trentenaire, qui n’avait d’ailleurs pas qu’un seul chien. En fait, elle et son compagnon, Christophe, en avaient 5. Curtis, l’un des chiens qui a été soupçonné dans l’affaire, n’est que l’un d’entre eux. Le jour de sa mort, elle s’apprêtait à sortir Chivas, explique l’homme qui partageait sa vie.
Plusieurs photos la montrent d’ailleurs avec Christophe et l’un de leurs canins qui, de l’avis des internautes, étaient peut-être un peu plus "sérieux" que ne l’était Elisa Pilarksi. De quoi penser que la jeune femme aimait s’amuser ? C’est en tout cas ce que sous-entendaient ses amis, taquins, le 7 novembre dernier.
La future maman n’était pas friande que de chiens. Propriétaire d’au moins deux chevaux, qu’elle appelait affectueusement ses "bébés" comme l’illustre une de ses publications facebook, elle était visiblement cavalière. "Le cheval est un instrument de musique. Il faut l’accorder avec tact, patience et savoir faire, afin d’en jouer juste et de le magnifier", écrivait-elle le 13 novembre.
Qui était Elisa Pilarski ? Une histoire qui bouleverse, partout en France
C’est à Rébénacq, dans les Pyrénées-Atlantique, que se sont tenues les obsèques d’Elisa Pilarski, rapporte le quotidien régional L’Union. Le petit village, fort d’un peu de moins de 700 habitants a été entièrement bouclé par les gendarmes, quoique 300 personnes se soient réunies pour lui rendre hommage.
Sur les réseaux, d’autres n’hésitent pas non plus à exprimer leur soutien à la famille et aux proches, ou à dire combien ils ont été touchés. "Elisa, je ne te connaissais pas mais ton histoire est terrible et bouleversante. Ca m’a choqué et attristé, que ton âme repose en paix", écrit par exemple l’une d’entre elles sur son mur.