De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Votre département gère-t-il correctement l’épidémie ? Un nombre considérable d’entre eux ne parvient pas, hélas à stabiliser son taux d’incidence (c’est-à-dire le nombre d’individus contaminés par le coronavirus Covid-19 ou l’un de ses multiples variants pour un total de 100 000 habitants), indique le site spécialisé CovidTracker, qui actualise ses données de façon hebdomadaire.
Sur les 7 derniers jours, la situation s’est, hélas, aggravée dans plus d’une trentaine d’entre eux. Dans certains cas, cependant, l’évolution du nombre de cas est assez marginale. Dans d’autres, ceux que Planet a décidé de vous présenter, elle excède + 5%. C’est considérable, d’autant plus que beaucoup d’autres départements parviennent eux à stabiliser leur taux d'incidence, ainsi que l’illustre le site.
D’une façon générale, de nombreux praticiens estiment que la dégradation de la situation épidémiologique est grave et juge la décision d’Emmanuel Macron - qui n’entend visiblement pas reconfiner le pays - assez étonnante. Certains y voient un aveu du pouvoir, qui estimerait dorénavant "acceptable" que plusieurs centaines de personnes meurent du coronavirus au quotidien.
Ces pays où le Covid n’est rien de plus que de l’histoire ancienne
Certains pays ont fait d’autres choix. C’est le cas de la Nouvelle-Zélande par exemple, ou le virus a quasiment été oublié, à en croire le témoignage d’une Française expatriée sur place. "On est allé voir un match des All Blacks à Wellington, on était 30 000 spectateurs", raconte-t-elle notamment aux micros d’Europe 1.
Pour en arriver à de tels résultats, la Nouvelle-Zélande a opté pour le traçage généralisé des individus. "On a simplement une application qui permet de tracer les lieux où l'on se rend. Comme ça, dès qu'il y a une contamination, on peut remonter le parcours et les contacts de la personne. C’est très bizarre parce qu'on est un peu les seuls au monde à avoir le droit de faire vraiment tout ce que l'on veut", poursuit cette expatriée.