De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"Les médecins vont dire : vous ne devriez pas dire cela. Je dis ce que je pense", a commencé le chef d'Etat américains, pour qui les jours heureux s'annoncent. Six mois avant l'élection présidentielle, il a tenu a annoncer un message d'optimisme à ses concitoyens, indique 20 minutes. "Nous pensons que nous aurons un vaccin d'ici la fin de cette année", a-t-il donc poursuivi, depuis le mémorial dédié à Abraham Lincoln où il avait organisé un échange virtuel avec les états-uniens, retransmis en live par la chaîne Fox News.
Le président américain, usuellement très chauvin, a aussi affirmé vouloir "juste avoir un vaccin qui fonctionne". "Cela m'est égal", a-t-il asséné quand on lui a demandé s'il apprécierait d'apprendre qu'un autre pays avait doublé les États-Unis d'Amérique en la matière. Ce n'est d'ailleurs pas impossible, puisque des projets de vaccins sont développés partout dans le monde. On en compte une centaine au total, dont une dizaine approchent dorénavant des phases d'essai cliniques.
Pourquoi tant d'optimisme de la part de Donald Trump ?
Le locataire de la Maison Blanche s'est aussi montré optimiste quand à l'évolution des perspectives économiques, rappelle le quotidien. Il a dit combien il souhaitait voir reprendre l'activité professionnelle, prudemment mais "aussi rapidement que possible".
Pour autant, la légèreté dont fait preuve l'homme d'Etat n'a rien d'innocent, explique France 24. Et pour cause : le 45ème président des Etats-Unis est, lui comme ses rivaux, en campagne électorale...