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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Carles Puigdemont a été placé en garde à vue, dimanche, ainsi que huit membres de son gouvernement, avant d'être libéré sous conditions par la justice belge dans la soirée. Face à la situation, Ségolène Royal, Ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique, s'est exprimée sur le sujet ce dimanche sur le plateau du Grand Jury RTL / Le Figaro / LCI.
L'ancienne candidate est fermement opposée à l'enfermement des personnalités politiques "qui ont mené un combat idéologique et ça au cœur de l'Europe". Pour autant, selon elle, l'indépendance la Catalogne ''n'est pas souhaitable''.
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"Ils sont jetés en prison et les prédateurs sexuels dont nous parlions à l'instant, il n'y en a pas encore un qui est en prison"
Ségolène Royal a par ailleurs fait en rapprochement entre l'incarcération de Carles Puigdemont et une autre affaires qui secoue la classe politique comme médiatique : les affaires de harcèlement et de violences sexuelles envers les femmes. "J'ai entendu hier la réflexion d'une dame dans le train et je me disais 'tiens, elle a quand même raison'. Ils sont jetés en prison et les prédateurs sexuels dont nous parlions à l'instant, il n'y en a pas encore un qui est en prison. J'ai trouvé cette réflexion parfaitement fondée", a-t-elle ainsi expliqué.
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