De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Carrière posthume de Johnny Hallyday : la grosse désillusion
Désenchantée ! Spectacles, expositions, école, comédie musicale, films… Laetitia Hallyday et Sebastien Farran, ancien manager de Johnny chargé à présent de gérer sa carrière posthume, avaient une multitude d’idées en tête. Leur objectif ? Honorer la mémoire de l’artiste en créant de nombreux spectacles et cérémonies à son effigie.
C’est ce qu’a récemment confié le manager. "Il y a énormément d’idées, énormément de volonté dans à peu près tous les domaines que l’on peut imaginer (…) des documentaires, des séries, peut-être des fictions…" Malheureusement, pour le moment, tout cela reste à l’état de projet. "Je n'ai rien validé jusqu'à maintenant mis à part bien évidemment le dernier album de Johnny Hallyday, Mon pays c'est l'amour. Je n'ai aucune relation avec les autres évènements évoqués," a-t-il indiqué au Figaro.
Tant qu’aucun accord n’est trouvé entre Laeticia Hallyday, David Hallyday et Laura Smet, rien de concret ne pourra être mise en place.
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Carrière posthume de Johnny Hallyday : les organisateurs ne veulent prendre aucun risque
Aucune signature en vue !Interrogés par Le Figaro, les avocats en charge du dossier Hallyday ont dévoilé que personne ne veut prendre le risque de signer un contrat, tant que la guerre de succession n’est pas réglée.
En effet, les organisateurs d’événements ne veulent pas se voir reprocher d’avoir reversé de l’argent au mauvais interlocuteur. Il faudra donc attendre que la justice rende son verdict pour débloquer la situation.
Ce contexte fait toutefois le bonheur de certains, au grand damn de Laeticia et Sébastien Farran, impuissants. Beaucoup de projets voient le jour, sans que la veuve du chanteur ne puisse avoir un droit de décision.Elle a malheureusement appris par ses avocats que les droits à l'image s'éteignaient avec l'artiste. Elle ne peut donc empêcher la naissance d'éventuels galas de sosies ou autres spectacles.
Son seul lot de consolation, les droits d'auteur et d'interprète, versés par la Sacem.