De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
S’offrir une vie confortable dans une région au climat agréable et à moindre coût, est le rêve de nombreux retraités. 600 000 ont déjà franchi le pas et d’autres l’envisagent. Comme nous l’expliquait il y a quelques mois Paul Delahoutre, gérant du site Retraites sans Frontières, "les retraités s’aperçoivent que les pensions tendent à diminuer alors que les impôts (cotisations comprises) augmentent toujours". En partant vivre à l’étranger, les retraités espèrent aussi "préserver son pouvoir d’achat".
Avant de vous lancer dans cette nouvelle vie, avez-vous pensé aux différents critères à prendre en considération ?
Retraite à l’étranger : ne partez pas sur un coup de tête
Votre projet doit être mûrement réfléchi. Si vous avez d’ores et déjà un pays en tête, cela ne signifie pas qu’il convient le mieux à votre profil. Il est donc préférable d’étudier le coût de la vie, le marché immobilier, la fiscalité, le climat, les commodités (banques, supermarchés, hôpitaux, transports…), la sécurité, les démarches administratives à accomplir ou encore la culture. Car avoir passé des vacances dans une ville étrangère ne suffit pas à se faire une idée de la vie réelle. C'est pourquoi il est recommandé d’effectuer une phase de test, dans les conditions normales de vie, durant au moins plusieurs semaines.
Si l’Espagne, le Portugal, le Maghreb ou la Thaïlande sont très prisés, quelles sont les pays qu’il vaut mieux éviter ? Dans sa dernière étude, Expat Insider a dressé une liste des pires destinations. Critères étudiés : qualité de vie, intégration dans le pays, coût de la vie sur place... Découvrez 5 contrées à rayer de votre liste d’expatriés dans notre diaporama ci-dessus.