La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Il faut bien faire attention à ne pas se faire avoir. Une enquête de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), dévoilée le 16 mars, montre que les infractions sur les rachats de crédits sont nombreuses. Pour en arriver à ce constat, l’organisme a enquêté sur 182 établissements. Résultat : 20,3% des offres seraient frauduleuses.
Parmi les pratiques abusives les plus courantes, on retrouve notamment des mentions publicitaires interdites, des anomalies en matière de démarchage, des allégations trompeuses… Et les faits sont parfois plus graves, avec notamment des pratiques commerciales trompeuses.
Mensonge sur le total de l’endettement
"Parfois, l'organisme se trompe ou ment sur le montant total de l'endettement après rachat et regroupement", précise l’association UFC Que Choisir, qui relaie l’étude. D’autres établissements ne remettent pas non plus à leur client la fiche d’information précontractuelle européenne normalisée (FIPEN), qui permet pourtant de comparer les offres.
28 avertissements et sept injonctions ont été lancés par la DGCCRF, avec deux procès-verbaux établis. Malgré ces infractions, l’enquête montre que les choses se sont améliorées depuis 2014, où une précédente étude indiquait que la moitié des sites étudiés ne respectaient pas la réglementation.
En vidéo sur le même thème : Quelles sont les demandes à effectuer pour faire un rachat de crédit ?