La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Avant le premier tour de la présidentielle, Jean-Jacques Bourdin devait faire passer son "Entretien d'embauche" aux onze candidats. Le journaliste avait donc invité François Fillon qui a finalement annulé sa venue prévue le 21 avril. Le présentateur a expliqué que l'ancien Premier ministre ne souhaitait plus parler de ses "affaires".
François Fillon aurait proposé des dates
"François Fillon a décliné l’invitation. Il ne veut plus parler des affaires, donc il estime que l'on ne peut plus l'interroger. Vous savez les absents ont toujours tort dans la vie. Il y a quelques mois, il souhaitait absolument que l'on parle des affaires, mais c'était à l'époque de la primaire, quand on parlait de Nicolas Sarkozy. Là, il voulait qu'on parle des affaires. Aujourd'hui, terminé, il n'en veut plus !", a déclaré le journaliste au micro de RMC jeudi matin.
Suite à ces déclarations, François Fillon s'est expliqué au micro de BFMTV. Visiblement, le candidatn'a pas du tout la même version des faits que Jean-Jacques Bourdin. "J'ai proposé deux dates, je n'ai jamais dit que je ne voulais pas aller chez Bourdin. J'étais même en train d'en négocier une troisième et je me fais insulter en direct sur votre antenne", a-t-il affirmé. Le candidat LR à l'élection présidentielle a assuré n'avoir pas souhaité "aller à ce rendez-vous dans des conditions comme celles-là. Je ne suis pas aux ordres de monsieur Bourdin", a-t-il ajouté.
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"François Fillon ment, je ne l'ai jamais insulté"
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Le journaliste a ensuite pris d'assaut son compte Twitter pour démentir cette nouvelle version. "François Fillon ment, je ne l'ai jamais insulté. Il a annulé. Il n'a jamais proposé trois autres dates", a-t-il écrit. Quoi qu'il en soit, la relation entre François Fillon et les médias est glaciale. Le candidat avait d'ailleurs accusé la presse de "l'assassiner publiquement". Le journaliste, quant à lui, est connu pour piéger ses invités. Myriam El Khomri s'était d'ailleurs emmelée les pinceaux en pleine interview au sujet des CDD.