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Le grand débat de l’entre-deux-tours a eu lieu mercredi soir et les échanges ont été très vifs. Les deux journalistes Christophe Jakubyszyn et Nathalie Saint-Cricq chargés de le présenter ont d'ailleurs eu un peu de mal à se faire entendre. TF1 et France 2 avaient d'abord misé sur un duo masculin avec Gilles Bouleau et Davis Pujadas, mais le CSA souhaitait un duo paritaire. Et si beaucoup de personnes pensaient à Léa Salamé ou Anne-Claire Coudray, les deux journalistes ont finalement été mises de côté.
"Ce n’est pas moi qui ai récusé un journaliste pour ce débat"
D’après les informations du Parisien, si Anne-Claire Coudray a été boycottée, ce serait la faute de Marine Le Pen. En effet, la candidate soutenue par le Front national aurait refusé d’être interrogée par la journaliste lors de ce grand débat. Et au moment d'évoquer la rafle du Vel d’Hiv, Emmanuel Macron n'a pas hésité à faire référence à l'éviction de la journaliste.
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"C’est un journaliste qui m’a posé la question" a déclaré Marine Le Pen. Ce à quoi a répondu Emmanuel Macron. "Oui, c’est vrai, c’est un journaliste que vous n’aviez peut-être pas choisi et que vous avez laissé vous interroger librement." Et la discussion ne s'arrête pas là. "J’en choisis pas beaucoup vous savez, je sais que vous vous pouvez les choisir mais moi ça ne m’arrive jamais", a ajouté la candidate."Ce n’est pas moi qui ai récusé un journaliste pour ce débat", a fini par lâcher Emmanuel Macron.
Interrogé par "Le Grand direct des médias" d 'Europe 1, Christophe Jakubyszyn a réagi aux rumeurs sur le boycott d'Anne-Claire Coudray. Le journaliste a affirmé ne "pas être au courant", et ne "sait pas si la discussion à été jusqu'au véto", a rapporté Télé Star.