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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© AFP
La pression sur Jean-François Copé était intenable, il s’est donc résigné à quitter la présidence l’UMP à l'issue de la réunion du bureau politique qui s'est tenue dans une ambiance électrique dans les sous-sols de la rue Vaugirard.
Sa démission sera effective à partir du 15 juin. Trois anciens Premiers ministres "assureront la direction collégiale" de l'UMP selon Gérard Larcher. Il s'agit de François Fillon, Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin.
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Le maire de Maux a d'abord affirmé qu'il ne se représenterait pas à la présidence du parti à l'occasion du congrès extraordinaire prévu en octobre. Invité par les ténors du parti à quitter son poste sur le champ, ce dernier avait prévu de couper la poire en deux en acceptant le principe d’un congrès en octobre à l’occasion duquel il ne se représenterait pas.
Dans la matinée, François Fillon a enjoint son rival à se mettre "en réserve" des affaires du parti au moins "pendant la durée de l’enquête". L’ancien Premier ministre a indiqué à Jean-François Copé que s’il n’obtempérait pas, il quitterait la direction du parti. "Je ne saurais cautionner une gestion qui conduit inexorablement à notre disparition" a-t-il dit en mettant en doute la confiance qui lui avait été accordée.
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