De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Malaise en plein vol. Selon le site Le Point.fr, Nicolas Sarkozy, aurait livré le 7 octobre dernier, dans l’avion qui le ramenait du Caucase, sa vision de la chirurgie esthétique. Un surprenant monologue auquel auraient assisté les ministres Éric Besson, Pierre Lellouche, Thierry Mariani et Henri de Raincourt, les députés Patrick Devedjian et Valérie Boyer, ainsi qu’Henri Guaino, le proche conseiller du président.
"La chirurgie esthétique, c’est dangereux"
Toujours selon Le Point.fr, tout commence à l’heure du dîner aérien. Patrick Devedjian fait des remarques sur le président géorgien Mikheil Saakachvili : "Il a grossi et il se teint les cheveux. Il a pris un coup de vieux." Le chef de L’Etat aurait alors déblatéré pendant 20 minutes : "La chirurgie esthétique, c'est bien quand on a une infirmité ou un gros défaut. Sinon, c'est dangereux. On croit qu'on ne le fait qu'une fois et on en devient esclave. Il ne faut pas mettre le doigt dans l'engrenage."
Et Carla dans tout ça...
Regards gênés autour de la table. Le site internet relate que personne n’ose évoquer Carla Bruni, suspectée d’être - malgré ses dires - une adepte du bistouri. Les convives tentent alors de détourner la conversation, mais rien n’y fait.
Sarkozy accro au laser ?
A priori très en forme, le président s’engage même davantage sur le sujet : "Je ne considère pas comme de la chirurgie esthétique le fait de se faire stimuler le collagène naturel par un laser. Ça lisse la peau et ça donne bonne mine." À cet instant, Nicolas Sarkozy se serait alors tapoté la joue d'un air satisfait. "On en a tous déduit qu'il était accro au laser", relate un convive, encore estomaqué. Et un autre de rajouter : "Le nouveau Sarkozy ne serait-il qu'une invention cosmétique ?".
Syndrome Sarkozy
Accro au laser ou pas, on sait en tout cas que des médecins britanniques avaient évoqué en 2008, après son mariage avec Carla Bruni, un "syndrome Sarkozy". Les chercheurs avaient constaté que de plus en plus d’hommes de 40 à 50 ans faisaient soudain appel à la chirurgie, afin de pouvoir séduire, comme notre président, une femme bien plus jeune qu’eux.