Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
"Je prenais de l’acide et du LSD à une époque" confie Amanda Lear au magazine Vogue. Elle n’a jamais eu la langue de bois, ce n’est pas aujourd’hui qu’elle va commencer ! Amanda Lear, muse de l’artiste Dali, aussi ancienne compagne du chanteur David Bowie, et personnage incontournable de la scène people française, se confie ce mois-ci dans Vogue.
"On se droguait un peu trop. Et la clique de David Bowie était pire encore que celle de Dali. Mais Dali m’a beaucoup aidée là-dessus", raconte-t-elle, expliquant ainsi comment Dali l’a poussée à arrêter.
L'ancienne star du disco raconte aussi ses histoires d’amour et comment une nuit une amie l’appelle pour lui dire que David Bowie veut la rencontrer : "après cette nuit, nous sommes restés deux ans ensemble. C’est lui qui m’a incitée à chanter".
Elle ne tarit pas non plus d'éloge sur le peintre. "Je l'adorais, il représentait tellement de choses. C'était un professeur d'art, un gourou, un compagnon, un boyfriend, un père spirituel", dit-elle à propos de Dali.
On se souvient que cette reine des paillettes avait un temps a essayé de se ranger, dans les années 80, en se mariant à Alain-Philippe Malagnac, mais cette histoire d’amour s'était soldée par un drame lorsqu’un incendie brûla leur maison à Saint-Etienne-du-Grès, tuant son mari, en 2000.
Aujourd’hui, Amanda Lear partage sa vie avec un jeune garçon d’une vingtaine d’année. Celle qui a mené une carrière au multiples facettes, tour à tour chanteuse, danseuse, présentatrice et comédienne, est aujourd’hui au théâtre, dans Panique au Ministère, une pièce qui rencontre un fort succès dans toute la France.