Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Le diaporama indique quelques réflexes à adopter afin de limiter les risques d'invasion de cafards.
L'évocation de sa seule présence suffit à provoquer chez certains une immédiate sensation de dégoût. Le cafard jouit d'une réputation pour le moins peu flatteuse. Dans le langage courant, le nom de cet insecte est même devenu une manière plutôt insultante de désigner un individu mauvais à tout point de vue.
Comme le raconte Le Mag des Animaux, celui qu'on appelle aussi cancrelat est apparu sur terre "il y a plus de 350 millions d'années". Cette information donne une bonne idée de la résistance dont peut faire preuve cet indésirable.
Cafards : comment éviter l'invasion ?
Cet insecte appartenant à l'ordre des blattoptères ne se contente pas d'envahir nos cuisines, il peut également transporter des maladies comme la gastro-entérite, l'hépatite ou la tuberculose. Et ce n'est pas tout. Selon Rentokil, géant mondial des services d'hygiènes, "les excréments, les mues et les traces de salives peuvent provoquer chez l'homme de graves allergies, de l'eczéma et de l'asthme."
Face à toutes ces informations, vous vous dites probablement qu'un bon coup de bombe d'insecticide réglera tous vos problèmes. Les choses ne sont malheureusement pas si simples. Car il faut bien plus qu'un petit jet d'aérosol pour venir à bout. Comme le rapporte Futura Planète, des études scientifiques ont montré que "la résistance des cafards" pouvait "augmenter de quatre à six fois en une génération seulement" face aux produits répulsifs.
Pour éviter que ces intrus ne prennent possession de votre chez vous, le meilleur conseil est en fait de devancer la menace en appliquant au quotidien des gestes simples. Consultez notre diaporama pour découvrir ces réflexes à adopter tout de suite.