Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
- 1 - L'envoi de mandats cash
- 2 - Des frais supplémentaires facturés... à tort !
- 3 - Méfiez-vous de l'état des lieux !
- 4 - Des marchands de listes peu scrupuleux
- 5 - Quand le contrat est au nom du garant, le locataire n'a pas ses APL !
- 6 - Ces appartements meublés qui échappent à tout contrôle
- 7 - A lire aussi
L'envoi de mandats cash
leboncoin.fr, et tombez sur une annonce plus qu'alléchante : un 3 pièces de 50 mètres carrés en plein Paris, loué pour la modique somme de 600 euros charges comprises...
Vous vous baladez sur un site de petites annonces, commeVous prenez contact avec l'émetteur de l'annonce et, très vite, ce dernier, qui habite à l'étranger et ne peut pas se déplacer, vous invite à lui envoyer plusieurs centaines d'euros par mandat cash en guise de caution.
Vous l'aurez bien compris, l'argent disparaît dans la nature et le soi-disant propriétaire est introuvable puisqu'il n'est pas possible de retrouver le destinataire du mandat cash.
Des frais supplémentaires facturés... à tort !
Certains professionnels n'hésitent pas à saler allègrement la note des locataires : frais d'envoi d'attestation à la CAF, frais de relance, de quittancement, d’état des lieux... Tout ceci est illégal !
Méfiez-vous de l'état des lieux !
L'état des lieux effectué par le bailleur lorsque le locataire s'installe dans un logement peut être expédié à la va-vite, alors que l'état des lieux à la sortie est effectuée par une société extérieure, et sera forcément défavorable au locataire ! Il peut ainsi se retrouver responsable de dégradations qu'il n'a pas commises.
Attention ! Il est également interdit de facturer l'état des lieux au locataire !
Des marchands de listes peu scrupuleux
La mission des marchands de liste est de fournir à quiconque cherche un logement à louer, une liste détaillée de biens disponibles à la location en échange d'une somme allant de 150 à 300 euros.
Seulement, certains marchands sont peu scrupuleux et proposent dans leurs listes des logements déjà loués ou qui ne correpsondent pas du tout aux critères demandés par le futur locataire.
Quand le contrat est au nom du garant, le locataire n'a pas ses APL !
Lorsqu'un locataire, en particulier un étudiant, n'a pas les ressources nécessaires pour payer son loyer, le bailleur établit le contrat au nom de son garant qui devient le locataire "officiel" de l'appartement. Le "vrai" locataire, lui, ne pourra donc pas profiter des APL...
Ces appartements meublés qui échappent à tout contrôle
Attention aux appartement qui, sous pretexte d'être meublés, se révèlent très (trop) coûteux : versement de plusieurs mois de loyer d'avance, facturation de la rédaction du bail, fortes hausses de loyers...
Méfiance ! C'est illégal !
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