De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Les Françaises et les Français peuvent souffler ! Pour l’essentiel d’entre eux, ils n’auront pas à composer avec une hausse soudaine de la taxe foncière, rapporte Capital, qui souligne combien les collectivités locales ont fait le choix de la modération en termes de fiscalité. En effet : elles sont nombreuses à n’avoir pas touché aux taux d’imposition, alors même qu’elles doivent aussi composer avec la fonte de leurs ressources - faute de recettes -, du fait de la crise sanitaire et des mesures décidées par le gouvernement pour endiguer la propagation du coronavirus.
Nos confrères se sont attardés sur les taux d’imposition locale - et plus précisément, sur leur évolution - de 200 agglomérations comptant toutes plus de 40 000 habitants. Parmi elles, certaines ont même décidé d’une baisse de la fiscalité du foncier, fait notable et remarqué. D’autres, en revanche, ont cependant fait le choix d’une hausse. Dix d’entre elles ont même été très sèvres. La liste dans notre diaporama.
Comment est calculée la taxe foncière ?
Le montant de la taxe foncière, souligne le mensuel de référence en économie, dépend de plusieurs facteurs. Son calcul repose notamment sur la base locative cadastrale, qui "représente le loyer théorique annuel que le bien serait susceptible de produire dans des conditions normales à une date de référence", indique l’administration fiscale, citée par nos confrères.
Cette valeur est révisée, chaque année, par la Direction générale des finances publiques (DGFiP), en tenant compte - notamment - de l’indice des prix à la consommation harmonisé de l’année précédente. Le coefficient de cette année, qui s’établit à +0,2%, n’est pas très élevé.